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Bonnet Aurélien

Le cri du cœur des producteurs de veaux

Les producteurs de veau de lait et de veaux de grains ont lancé un appel aux consommateurs. Ils souhaitent qu’ils demandent à leur boucher et leur détaillant d’offrir du veau de lait et du veau de grain sur leurs tablettes.



C’est qu’en temps normal 40% de la viande de veau est destinée aux hôtels, restaurants et institutions (HRI). Pour le veau de lait, la proportion est encore plus grande. Leur fermeture liée à la COVID-19 fait en sorte que les abattoirs se ramassent avec des stocks invendus. D’un côté, le prix offert aux producteurs a chuté. De l’autre, il en coûte plus cher pour garder les animaux un peu plus longtemps à la ferme. « Chez nous, c’est environ 30% de baisse de revenus », explique Pierre-Luc Nadeau. Ça représente beaucoup plus que la marge qu’ils reçoivent habituellement de la vente de leurs animaux. « On ne peut pas perdre 30% », ajoute-t-il. Le message est donc de dire aux clients de demander le veau du Québec. Les stocks sont là. Il ne reste qu’à les offrir en épicerie et dans les boucheries. En attendant des jours meilleurs, les usines congèlent et entreposent des stocks de viande, mais l’idéal serait de pouvoir écouler cette viande. Du côté des producteurs, on se questionne sur la façon d’informer les consommateurs sur les lieux où le veau est disponible.



#Covid_19 #Viande #Veau #Canada



SOURCE: www.lebulletin.com

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Bonnet Aurélien

Le ministère de l’Environnement autorise l’épandage de fumier contenant du lait

La COVID-19 a fait en sorte qu’une partie des surplus de lait a dû être disposée dans les fosses à fumier. Le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC) a émis ses directives concernant le fumier mélangé avec des surplus de lait. Précisons qu’en raison de la COVID-19, des quantités de lait n’ont pas pu être livrées à des usines et ont dû être disposées à la ferme. En temps normal, le ministère permet que du lait puisse être présent dans le fumier jusqu’à un maximum de 5% du mélange. Pour la période d’urgence sanitaire débutant le 13 mars, il sera permis de dépasser ce maximum sans nécessiter l’obtention d’un permis du MELCC. Le surplus de lait doit être disposé dans un ouvrage de stockage étanche prévu pour les fumiers. De plus, le producteur doit avoir, lors de l’épandage, un programme agro environnemental de fertilisation (PAEF) prévoyant l’épandage des fumiers. Un brassage uniforme du mélange devra être effectué avant l’épandage et celui-ci devra être effectué rapidement pour limiter les odeurs. Le lait en surplus peut aussi être transféré vers l’ouvrage de stockage étanche d’un tiers. L’ouvrage de stockage ne doit pas être en surplus et la tenue d’un registre des quantités de lait est obligatoire.Selon les explications de l’agronome Raymond Leblanc de l’Ordre des agronomes, la présence de lait peut occasionner un changement dans le bilan phosphore de l’entreprise. «Il faut que l’entreprise soit en équilibre dans son bilan phosphore», dit-il.



#Epandage #Fumier #Lait #Elevage_Laitier



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Bonnet Aurélien

Washington donne un autre coup de pouce aux producteurs américains

Les producteurs américains de soya et de maïs recevront de l’aide de la part du gouvernement en raison de la crise causée par la COVID-19. L’aide sera attribuée en fonction de la moitié de leur production de 2019 ou de la production toujours en stock en date du 15 janvier 2020.



Cette aide est la dernière d’une série de paiements gouvernementaux dont les agriculteurs dépendent pour survivre dans un contexte de crise de l’économie agricole depuis 2018. Les producteurs ont déjà reçu 28 G$ au cours des deux dernières années afin de surmonter les guerres commerciales de l’administration Trump. Les paiements ont été fixés à 45 cents le boisseau pour le soya, 32 cents le boisseau pour le maïs et 18 cents le boisseau pour le blé, a déclaré le département américain de l’Agriculture. D’autres cultures comme l’orge, le canola, le coton et l’avoine sont également éligibles au paiement. En avril, le président Donald Trump a annoncé un premier programme de secours de 19 G$ pour aider les agriculteurs américains à faire face à l’impact du coronavirus, dont 16 G$ en paiements directs aux producteurs et des achats massifs de viande, de produits laitiers, de légumes et d’autres produits agricoles.



#Covid_19 #Amérique #Agriculteurs #Economie #Economie_agricole



SOURCE: www.lebulletin.com

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Bonnet Aurélien

Au Canada, les agriculteurs observent un temps anormalement sec

Une grande partie de la province au sud de Québec enregistre un temps sec, très sec même. Selon les données d’Agriculture Canada, le déficit de pluie se chiffre à plus de 55 mm de pluie dans les 30 derniers jours à certains endroits de la province. Plus on se rapproche de Montréal, plus le manque de pluie est flagrant. Dans la grande région métropolitaine, le manque à gagner se situe entre 35 mm et 65 mm. Un mur de poussière a d’ailleurs été capté dans le coin de Saint-Rémi, sur la rive-sud, le 7 mai dernier. Il ne s’agit pas encore toutefois d’une situation de sécheresse. Agriculture Canada note que les “conditions de sécheresse se sont détériorées tout au long du mois d’avril, l’hiver se transformant en printemps, en particulier dans l’Ouest canadien. Seulement 3 % de la superficie national dans l’étendue agricole serait toutefois en situation de sécheresse. Les températures plus froides qu’en moyenne ont été la norme. Des conditions anormalement sèches se sont étendues dans le sud des Prairies et ont commencé à se développer dans l’est du Canada”, note toutefois le ministère. Une interdiction de faire des feux à ciel ouvert en forêt ou à proximité a été étendue dans plusieurs régions de la province par le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs. Le risque est considéré de extrême à élevé du Saguenay en passant par l’Abitibi-Témiscamingue jusqu’au Centre et le Sud du Québec. Heureusement, des précipitations sont prévues pour la province cette semaine et la semaine prochaine, mais le temps frais pourrait bien s’accrocher encore jusqu’en juin, selon le blogue du site Accuweather Canada.



#Canada #Sécheresse #Agriculture



SOURCE: www.lebulletin.com

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North america Team TalkAG

Le dièse, le hashtag, vos centres d'intérêt c'est pareil ! The sharp, the hashtag, your interests are the same!

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Bideau Marc

DINO IS KEEPING BUSY IN AMERICA



Dino has been on American soil for over a year now! It has only been a year and a half, and yet Naïo has already built up its name and reputation amongst local experts.



Simon, our Naïo representative based in California, told us about these last few months with Dino – which have been bursting with amazing exchanges and feedback.



Dino’s beginnings in Salinas

The first season in Salinas introduced local farmers to Dino – our bed straddling robot used for weeding salad crops. Thanks to our partners’ trust (such as Top Flavor Farm, Bonipak and Church Brothers Farms), we were able to till lots of hectares on their farms and gather precious feedback. We were thus able to identify Dino’s few limitations, and correct them immediately. Several of my French colleagues regularly travelled to California and Arizona to conduct other tests and adapt our robot according to the needs expressed by American farms. Indeed, there are notable differences between European and American practices – which led us to modify certain aspects of the machine.



Precision adjustments

We started by adjusting Dino’s guiding system over the crop beds. Its itinerary is now perfectly straight and accurate, in compliance with the map it is instructed to follow. A second team came to improve the tool’s camera guidance – which was another significant advancement for Dino. The third and final team went to Yuma in Arizona, to implement the active developed tool at the end of last year. Other aspects were also adjusted, making the mechanics more reliable, ensuring more compact batteries, making it possible to use new tilling tools, and lastly providing operators with a reliable and secure remote control.



Last season, Dino therefore operated across dozens of hectares of farmland! This year, we have scheduled hundreds more thanks to the arrival of other Dino machines throughout the USA.



#Agtech #america #mechanicalweeding #dino #innovation #roboto #technology





www.naio-technologies.com





North america Team TalkAG

Rompons l'isolement, Restons en contact

Dans cette période difficile les plateformes digitales trouvent tous leurs sens.



TalkAG est la plateforme du conseil agricole communautaire qui permet de rapprocher et d'unir le monde agricole pour pouvoir échanger, partager son expérience afin de gagner en performance.



Restons en contact



#TalkAG #Covid_19 #covid19 #Coronavirus





North america Team TalkAG

Live from WHO Headquarters - coronavirus - COVID-19 daily press briefing 03April 2020

youtu.be




North america Team TalkAG

Votre compte sur TalkAG

Vous pouvez personnaliser votre compte TalkAG

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Bideau Marc

COVID 19: La peur du taux d’absentéisme dans l’industrie laitière grimpe

Entre les gens touchés par le virus, des gens qui doivent garder leurs enfants et ceux qui font valoir leur droit de retrait, on s’approche de la cacophonie dans les laiteries françaises, mais l’inquiétude est grandissante aussi au Québec.



Absentéisme : C’est aussi une inquiétude pressentie au Québec !



La Vie agricole a parlé cet après-midi avec Luc Boivin, PDG de la fromagerie Boivin au Saguenay. Il nous rappelait que si le Québec a été rapide pour classifier son secteur d’activité comme service essentiel, le Fédéral se traine un peu les pieds. Il garde espoir d’une réaction imminente du fédéral dans les prochaines heures. Par ailleurs il nous a fait part de son inquiétude de voir son personnel se mettre en droit de retrait pour raisons médicales ou familiales, ce qu’il comprend mais risque de lui poser de gros problèmes logistiques à lui comme à tous ceux qui oeuvrent dans la chaine alimentaire.



Écoutez Luc Boivin demain midi dans LA QUOTIDIENNE AGRICOLE



Il sera demain à compter de MIDI à l’Émission LA QUOTIDIENNE AGRICOLE diffusée sur la page Facebook de La Vie agricole pour nous en parler.



Ça risque de craquer en France



L’absentéisme selon l’Institut de l’élevage en France serait de 8 % dans l’Ouest et 30 % dans l’est du pays. La Revue française Réussir Lait vient de publier aujourd’hui un article dans lequel elle précise que «les petites laiteries ont annoncé leurs graves difficultés et pour certaines des suspensions de collecte». C’est d’ailleurs le holding Sodiaal qui leur vient en aide et prend en charge la collecte de quelques citernes.



« Nous leur traitons le lait pendant deux semaines pour maintenir la collecte, mais il faudra trouver des solutions », a expliqué Damien Lacombe, président de Sodiaal au magazine Réussir Lait.



Certaines laiteries vivent déjà la problématique «du manque de personnel, la chute du débouché de la restauration, la chute des ventes de fromage à la coupe, la baisse des achats de fromages typiques», de spécifier le magazine Réussir Lait.



D’autres laiteries qui misent sur l’exportation vivent d’autres problématiques évidemment liées à la fermeture des frontières.



On s’enligne en France sur une réduction de la production laitière à court terme de l’ordre de 10 à 20 % selon le magazine Réussir Lait.



lavieagricole.ca



#Covid_19 #Laiterie #Produits_Laitiers #Elevage_Laitier





Bousin Jean

5 questions à ce poser avant de semer

#soytouch #Semis_Direct

Pour ceux qui vivent dans des zones où la récolte a été longue et les travaux sur le terrain ont été courts ou n'ont pas eu lieu, ou pour ceux qui risquent d’avoir d’autres retards de plantation, vous pouvez avoir des questions auxquelles il faut répondre avant de planter.



L'agronome de Soygen propose ces cinq questions et réponses:



Q. À quel moment devrais-je envisager d’échanger mes hybrides / variétés de saison complète contre des hybrides / variétés de saison plus courte?

A. Passer d'un produit de saison complète à un produit plus court peut signifier abandonner le potentiel de rendement offert par une telle variété hybride / variété. Par conséquent, toute décision concernant le passage à un groupe de maturité inférieur doit être soigneusement examinée.

 

Q. Est-il préférable de planter tôt dans des conditions humides, ou est-il préférable d'attendre que les conditions humides disparaissent et de planter plus tard?

R. Tandis que beaucoup d’agriculteurs veulent planter le plus tôt possible, il est important d’attendre que les conditions du terrain soient bonnes afin d’éviter le compactage autant que possible.

 

Q. Est-ce que mes semences de soja sont protégées contre les parasites et les maladies en début de saison?

R. Ce n’est un secret pour personne que les sols humides et frais inhibent la germination et l’établissement des peuplements. De plus, étant donné le lien connu entre ces conditions et la présence du syndrome de nématode à kyste du soja / syndrome de la mort subite, il est possible que la pression SCN / SDS soit accrue cette saison.

 

Q. Que dois-je rechercher dans un programme d'herbicide cette année?

R. Il est important de savoir que des inondations récentes ont pu transporter des graines de mauvaises herbes. De plus, les sols peuvent être lents à se réchauffer, ce qui retarde la levée des mauvaises herbes. Pendant ce temps, il existe un point d’arrêt pour l’application de nombreux herbicides - en général, lorsque le maïs atteint une hauteur de 30 po ou lorsque le soja atteint R2 ou R3.

 

Q. Que puis-je faire pour me préparer à une pression de maladie potentiellement élevée?

R. Étant donné que le temps humide, combiné aux températures chaudes, augmente le risque d'infection, les agriculteurs doivent être préparés à des maladies telles que la goudron et la moisissure blanche en 2019.Merc