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Emart Gilbert

L’aviculture

La confédération française de l’aviculture attend plus de soutiens



Protéger par l'étiquetage et les mêmes standards



Les autres points de crispation de la CFA concernent l'importation des produits de volaille et l'augmentation des charges qui viennent saper le travail de montée en gamme et de reconquête des marchés. Enfin, le président de la CFA souhaite que l'expérimentation française d'étiquetage des viandes dans les produits transformés, qui se termine à la fin de l'année, « se poursuive et soit généralisée à d'autres États membres. Nous devons aussi élargir le périmètre aux oeufs, au lapin et au foie gras. Nous avons besoin que l'État joue pleinement son rôle, nous protège et nous accompagne. »



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#Elevage #CFA #Volaille





Emart Gilbert

L’aviculture

La confédération française de l’aviculture attend plus de soutiens



Le président de la Confédération française de l'aviculture (CFA) a salué le grand travail de la filière foie gras mené depuis 2016. En se remettant en cause aux plans sanitaire et technique, elle a su rebondir, et ceci au prix de gros investissements. C'est aussi le cas en oeuf avec la mise aux normes sociétales et en volailles de chair pour retrouver de la compétitivité et reconquérir les marchés de la restauration hors domicile. Des besoins d'investissements chiffrés à 2,3 milliards d'euros rien qu'en filière chair. Le président du CFA compte sur tous les leviers, les éleveurs, les entreprises et ceux de l'État et des collectivités pour le Plan Grand Investissement. Le représentant du ministre de l'Agriculture, lui a assuré que « le GPI ne remplacera pas les PCAE, en précisant que de nouvelles modalités de ciblage verront le jour en 2019. »



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