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Bonnet Aurélien

POIS DE PRINTEMPS : COMMENT ÉVITER LES CONTRE PERFORMANCES ?

Les avantages liés au pois de printemps ne sont plus à présenter. Les débouchés en alimentation humaine et comme ingrédient des pois en général sont en pleine croissance. Semé entre mi-décembre et fin mars et récolté en juin juillet, le pois de printemps est l’un des meilleurs précédents du blé et du colza, il favorise la régulation des maladies des cultures dominantes et aide au contrôle des adventices à l’échelle de la rotation. Lire < www.talkag.com >. Pourtant les contre performances liées à cette culture sont nombreuses et découragent de plus en plus d’agriculteurs. Comment éviter les risques ? Et surtout quelles en sont les causes?





La culture de pois de printemps de plus en plus délaissée



Les intérêts agronomiques liés à la culture de pois de printemps sont nombreux. Raison pour laquelle elle est souvent mise en avant surtout quand il s'agit de la rotation de cultures (avec du blé et du colza). Entre autres, elle permet de lutter contre la prolifération des adventices. Comme les autres légumineuses, le pois de printemps a la capacité de capter l’azote de l’air et permet ainsi de limiter le recours aux engrais azotés. Les experts de Terres Inovia constatent que malgré tous ces atouts, « les contre performances de la culture découragent certains producteurs ». « Le rendement du pois protéagineux affiche, en effet, une tendance à la baisse depuis les années 2000 ».



Les différents aléas climatiques liés aux maladies et ravageurs sont les causes majeures de cette situation. La pression de pucerons en est bien l’exemple. Elle a particulièrement touché les pois en 2020, fortement et difficilement, entraînant ainsi beaucoup de problèmes de viroses. L’institut technique rappelle donc l'importance de réaliser une analyse de vos graines « si vous prévoyez de semer votre récolte 2020, car certains peuvent se transmettre par la semence ».



Pour éviter les maladies, il est primordial de bien choisir une parcelle exempte d’aphanomyces. « Ce pathogène persistant du sol peut entraîner de lourds dégâts en cas de printemps doux et humides » nous dit Terres Inovia. Les phénomènes de stress hydrique récurrents peuvent également expliquer les baisses de rendements régulières constatées. Terres Inovia explique également que cela est possible surtout dans les zones intermédiaires qui « pénalisent la croissance de la plante et limitent l’installation des nodosités pendant la phase végétative ».





Comment réduire le risque de stress hydrique ?



Or « c’est justement le nombre de nodosités mises en place avant le début de la floraison qui va conditionner la nutrition azotée et donc pour partie le rendement. Un stress hydrique au cours de la floraison et de la phase de remplissage aura, lui, une incidence sur le nombre de grains par plante et le poids de mille grains ». Pour éviter ce risque, les experts conseillent, dans la mesure du possible, de faire un choix de parcelles ayant une réserve hydrique suffisante. Il faut également éviter les sols argileux lourds.



Il faut ensuite s'apprêter à semer tôt. L’implantation ne doit pas être négligée car c’est elle qui permet un sol suffisamment réssuyé. Les jours après le semis doivent éviter des températures proches de 0° C. Les prévisions météo doivent donc être bien scrutées au préalable parce que « le pois de printemps est particulièrement sensible au gel pendant la phase de germination ».



Les semis trop denses sont également à éviter. Hormis le fait que cela soit favorable au développement des maladies, la forte densité peut également favoriser une compétition entre les plantes pour la ressource en éléments du sol et en eau. Cela est propice pour augmenter la sensibilité de la culture aux carences et au stress hydrique.



#Pois_de_printemps #Légumineuses

www.talkag.com




Bonnet Aurélien

LES STRATÉGIES DE RÉUSSITE DU DÉSHERBAGE DE POIS D’HIVER

Lutter contre les mauvaises herbes des pois est un défis vaste à relever pour les agriculteurs. Pour ce faire, plusieurs stratégies existent et sont adaptables aux différents adventices à détruire. Les options diffèrent en ce qui concerne le désherbage du pois d’hiver. Ce dernier offre une large palette de possibilités et de stratégies (application unique, programme de traitement). L’efficacité et le coût de ces différentes stratégies varient cependant.





Le désherbage en prélevée



Un premier nettoyage, lorsque la portance des terrains le permet, garantie la propreté des parcelles jusqu’à la reprise de la végétation. Une prélevée s’effectue au plus près du semis. Également sur un sol ressuyé et portant. Pour éviter tout risque de phytotoxicité, il est peut être utile de faire un roulage avant toute application. Cela aurait pour objectif de vérifier si les toutes graines ont été bien recouvertes. En ce qui concerne les sols filtrants, les doses à appliquer doivent être modulées afin de limiter les risques. Le désherbage du pois d’hiver en prélevée bénéficie de deux avantages. Le premier bénéfice concerne une gamme élargie de possibilités, ainsi que l’efficacité des produits en raison des températures fraîches et humides des sols. Le second atout, donne la possibilité d’intervention sur les jeunes mauvaises herbes au printemps.



Le désherbage mécanique est faisable en remplacement de l’herbicide de prélevée. Il peut également servir de complément au désherbage chimique en post levée. Avant la levée, dès que la portance du sol est bonne, un passage de la herse étrille est envisageable. Il faut faire également passer la houe rotative à la levée. Son efficacité dépend du stade des mauvaises herbes. Le passage de herse étrille au stade 2 à 5 feuilles par beau temps peut également s’avérer utile pour le désherbage du pois d’hiver.





Le désherbage en post-levée



Les interventions en post levée peuvent se faire juste après les interventions en prélevée. Un désherbage du pois d’hiver en post-levée en sortie d’hiver combine efficacité et économie. En effet, en sortie d’hiver, les mauvaises herbes comme la culture sont généralement peu développées, et la date de semis du pois d’hiver un facteur plutôt défavorable aux fortes infestations de dicotylédones à germination automnale. Mais le choix des produits de post-levée antidicotylédones est limité. Un ou deux passages en post-levée peuvent être planifiés en prenant en compte la flore présente. L’association Challenge 600 Basagran SG/Adagio SG en un seul passage est en effet possible, mais reste sous la responsabilité de l’agriculteur. L’intervention en deux passages avec un intervalle d’une dizaine de jours, plus coûteuse (un passage supplémentaire de tracteur) et contraignante, permet une meilleure gestion des levées échelonnées.



En post-levée, l’application est nécessaire lorsque les dicotylédones sont jeunes c’est à dire au stade 2-3 feuilles et en conditions de pousses. Il faut surtout éviter les températures thermique fortes, en dessous de 15°C. Cela peut causer des problèmes de sélectivité. Eviter également les nuits froides.





La lutte contre les graminées



L’avantage majeur des pois d’hiver, c’est d’avoir accès au Kerbo flo. C’est un produit racinaire à base de propyzamide, permettant de gérer les graminées résistantes et autorisé à 1,875 l/ha jusqu’au stade 4 feuilles. Dans les situations différentes, une large gamme d’antigraminées foliaires existe, présentant tous de bonnes efficacités.







TalkAg, le site de partage du savoir agricole, est le canal idéal pour vous tenir informer sur le désherbage des champs. Les adventices sont des facteurs de pertes de rendement dans les cultures, notamment pour les pois d’hiver. Venir à bout passe par un désherbage; et le réussir est gage de rendement supplémentaire. Talkag vous accompagne dans votre processus de désherbage du pois d’hiver, et toutes autres cultures.





#Désherbages #Pois_d_hiver

Source image : Agri-mag





Bonnet Aurélien

POIS D’HIVER, UNE CULTURE IMPORTANTE POUR LA ROTATION

Le pois d’hiver est la légumineuse relais dans la rotation la plus constante en rendement. Par rapport au pois de printemps, il semble apporter un plus. Pour que son potentiel s’affirme complètement, il faut adapter les pratiques agronomiques qui passent par la maîtrise du semis et sa profondeur. Nombreux sont les agriculteurs qui cherchent à réformer leur assolement ; raison pour laquelle ils tentent d'introduire dans les rotations de culture, le pois d’hiver. Ce dernier rentre le plus souvent dans la rotation des cultures de blé et de colza.





Avantages du pois d’hiver dans une rotation



Comme susmentionné, le pois d’hiver apporte plus de rendement que celui de printemps. Cela est due à la floraison plus précoce d’au moins quinze (15) jours, qui évite à la plante les températures chaudes de juin. Cette légumineuse permet de diminuer les charges en azote de la culture suivante (blé ou colza). D’autant plus qu’il est toujours conseillé de conserver une légumineuse dans le système de culture. Le pois d’hiver est moins sensible au stress hydrique. Semés en automne, il se développe rapidement au printemps ce qui permet une certaine avance sur les mauvaises herbes.



Toutefois cette culture est sensible au gel hivernal. Elle ne résiste donc pas à des températures très basses. Elle est également peu appropriée aux sols hydromorphes, très argileux et aux limons battants. Il est néanmoins possible de faire une impasse en fertilisation. Comme toute culture, le choix de la variété n’est pas à négliger.



Le choix variétal et de la parcelle



Pour prévenir les risques liés à Aphanomyces, le délai de retour du pois d’hiver est de sept (7) ans. Pour choisir sa variété, la résistance au froid (> 6,5) ainsi que la tenue de tige sont les critères essentiels à prendre en compte. Ces critères facilitent la récolte et ont également une certaine influence sur la présence d’ascochytose sur la tige, la densité de semis, les conditions climatiques sur la fin de cycle. Il faut choisir des variétés précoces pour limiter l’impact des coups de chauds et de stress hydrique durant le remplissage. Par rapport au choix de la parcelle, le pois d’hiver doit pouvoir bénéficier d’un sol aéré. Les sols superficiels sont favorables à leur semis.



Les conditions de semis



Pour réussir l’implantation du pois d’hiver, il faudrait que le sol soit ressuyé. Le sol doit avoir une assez bonne réserve en eau mais permettre également un semis en bonnes conditions. Il est conseillé de semer ces cultures entre le 25 octobre et le 15 novembre. En cas d’impossibilité de semer les variétés d’hiver à l’automne, il est possible de les semer au printemps, mais le rendement sera en général inférieur au rendement d’une variété de printemps. Il faut éviter de semer tout prêt des bordures maritimes car le climat plutôt doux et humide favorise le développement de maladies aériennes. Les semis trop précoces ne sont pas du tout conseillés



Les pois d’hiver doivent être impérativement semés profond. Il faut semer à 3-4 cm en sol limoneux, 4-5 cm en sol argilo-calcaire et en sol de craie (pour limiter le risque de déchaussement). C’est un critère essentiel au bon enracinement de ces cultures. C’est également une condition sine qua non pour la résistance au gel hivernal et au déficit hydrique au printemps. Cela permettra également de limiter les phénomènes de phytotoxicité en cas de désherbage de prélevée. L’écartement entre rangs va de 12 à 35 cm en fonction du type de semoir.



L’apport de Talkag



TalkAg, le site de partage du savoir, est le lieu idéal pour tout agriculteur de découvrir de nouvelles techniques agricoles, ainsi que pour l’acquisition d’expériences. Cela est nécessaire pour la conduite optimale des cultures. En ce qui concerne le pois d’hiver, TalkAg est un outil d’information, d’apprentissage et de partage. L’agriculteur recevra en temps et en heure les conseils dont il a besoin pour mettre en place sa culture. Un suivi est également possible, au vu des milliers de compères qui seront présents (même à des milliers de kilomètres) pour l’accompagner dans ses choix. Le choix variétal, la date de semis, la profondeur et la densité sont des questions que chaque agriculteur se pose à l’approche de chaque campagne. Plus besoin de chercher loin. Posez les questions sur le site pour obtenir les réponses.





Au cours de la levée, les pois craignent les températures en dessous de - 10°C. Dans les plages optimales de désherbage mécanique, le roulage est possible entre 2 et 6 feuilles. L’association avec une céréale limite la verse. Elle diminue aussi la pression des maladies et des insectes et permet de mieux contrôler l’enherbement. La norme commerciale du grain de pois est à 14% d’humidité. Cependant, pour limiter l’égrenage, il faut récolter à 15-16% d’humidité. En suite la ventilation permettra de diminuer le taux à 14%. La récolte doit se faire aux heures fraîches de la journée.



#TalkAG #Légumineuses #Pois_d_hiver #Rotation_de_culture

Source image: cultivar





Bonnet Aurélien

Campagne cultures fourragères 2019/2020: Maïs, tournesol et soja en progression, betterave en baisse

Parmi les autres cultures de printemps dont les surfaces ont progressé : le maïs grain avec 1 674 milliers d'hectares en 2020, soit + 10,5 % de surfaces par rapport à 2019 et + 12,1 % par rapport à la moyenne 2015-2019, pour atteindre 1 674 milliers d'hectares ». « Les emblavements de maïs fourrage seraient en hausse de 2,2 % par rapport à l’année dernière. » À noter toutefois : « à ce stade de la campagne, le partage des surfaces entre maïs grain et maïs fourrage est susceptible d’évoluer lors des prochaines estimations », précise Agreste. En 2020, la sole de tournesol atteindrait 690 milliers d'hectares, soit une hausse de 14,3 % sur un an et de 18,9 % par rapport à la moyenne 2015-2019. « La région Centre enregistre une augmentation de ses surfaces de 40,2 % et la Bourgogne de 51 %. » Pour la huitième année consécutive, la sole de soja devrait également progresser « au niveau record de 171 milliers d’hectares. Elle serait en hausse de 4,6 % par rapport à 2019 et de 19,1 % par rapport à la moyenne 2015-2019 ». La sole de betteraves industrielles est, elle, en baisse de 5 % à 424 milliers d'hectares et de 4 % par rapport à la moyenne quinquennale 2015-2019. « Ce recul des surfaces s'explique en particulier par l’annonce de la fermeture de quatre sites sucriers en France en 2020. »



#Semis_de_printemps #Maïs #Tournesol #Soja #Fourrage #Betterave #Pois_protéagineux



SOURCE: www.web-agri.fr



Lire Aussi

Campagne cultures fourragères 2019/2020: Les cultures de printemps à l'honneur; à l’adresse: www.talkag.com





Bonnet Aurélien

Campagne cultures fourragères 2019/2020: Les cultures de printemps à l'honneur

D'après les données Agreste du 1er mai 2020, « les surfaces consacrées aux orges augmenteraient sur un an (+ 3,9 %). Bénéficiant des difficultés d’implantation des céréales d’hiver, les orges de printemps sont en forte progression (+ 12,2 %) alors que les orges d’hiver stagnent (- 0,1 %) », indique le service statistique du ministère de l'agriculture. En 2020, la part des orges de printemps représente ainsi 35 % des surfaces d'orges, contre 27 % en moyenne sur la période 2015-2019. Du côté des protéagineux, les voyants sont aussi au vert avec une sole de 276 milliers d'hectares (+ 14,1 % sur un an ; + 3,0 % par rapport à la moyenne 2015-2019). « Les surfaces de féveroles augmenteraient de 12,9 % et celles de pois protéagineux de 12,7 % ». En ce qui concerne les cultures industrielles, Agreste note une hausse de 0,7 % des surfaces de pommes de terre de conservation et de demi-saison (+ 11,7 % par rapport à la moyenne 2015-2019).



#Semis #Semis_de_printemps #Cultures #Fourrage #Céréales #Pois_protéagineux



SOURCE: www.web-agri.fr





Bonnet Aurélien

Des semis de pois de printemps retardés par la météo

Les semis de pois de printemps sont assez sportifs cette année, il faut jongler avec les pluies et veiller à un ressuyage suffisant plutôt que de passer en force. Terres Inovia fait également le point sur l'arrivée des ravageurs de début de cycle.



En terres superficielles, certains ont profité de la fenêtre du 20 au 25 janvier. Encouragées par les températures printanières et l'humidité, les levées ont été très rapides (environ 2 semaines). Pris de court, certains producteurs ont dû revoir leur programme de désherbage initialement prévu en prélevée. Retour aux pratiques historiques de post-levée stricte : 2 applications à 15 jours d'intervalles sur de jeunes dicotylédones pour maximiser l'efficacité. Une deuxième vague de semis s’est déroulée début février tandis que la troisième est en cours notamment dans les sols plus profonds. Selon Terres Inovia, l’implantation est encore possible sur la première quinzaine de mars mais le risque de stress hydrique est accru à cause du retard de la période de floraison dans plusieurs régions. Cette pratique est de fait plutôt conseillée en sol à réserve utile moyenne à élevée. Pour les semis déjà réalisés, l'activité des ravageurs de début de cycle pourrait bientôt suivre. Afin de prévenir toute nuisibilité sur pois et féverole de printemps, l'institut technique recommande une observation régulière des parcelles.



#Pois #Semis #Cultures



SOURCE: www.terre-net.fr





Bonnet Aurélien

Un programme de prélevée puis post-levée : une meilleur maîtrise des adventices

Un programme complet permet de maîtriser les levées échelonnées des adventices ainsi que certaines adventices difficiles tout en maîtrisant le coût de son désherbage. Appliquer le produit de prélevée à une dose inférieure à la dose homologuée (3/4 de celle-ci), puis appliquer le produit de post-levée sur des adventices jeunes à dose raisonnée également. Choisir votre produit de prélevée en fonction de la flore la plus difficile à maîtriser. Terre net nous donne quelques bonnes pratiques à respecter pour pour une meilleur maîtrise des adventices. Il faut: Moduler les doses en sols sableux ou limoneux sableux; Racer Me et Nirvana S sont déconseillés dans les sols filtrants; Ne pas rouler après l’application de l’herbicide; Respecter les conseils d’utilisation de BASF et Phyteurop pour la bentazone (Corum, Basagran SG/Adagio SG) afin de préserver les ressources en eau.



#Pois #Féverole #Fertilisation #Adventices #Cultures



SOURCE: www.terre-net.fr





Bonnet Aurélien

Pois et féverole de printemps : quelle stratégie de désherbage adopter ?

Pour le pois de printemps, le désherbage se raisonne à la parcelle. En ce qui concerne la féverole de printemps, cela se fait principalement via la prélevée.



Pour la culture du pois, la prélevée offre un large spectre de produits homologués, permettant une gestion de différents types d’adventices. Une intervention en prélevée est incontournable en cas de fortes infestations pressenties, d’adventices concurrentielles, gênantes à la récolte ou difficiles à maîtriser en post-levée. En cas de parcelle propre ou de flore bien connue et facile à maîtriser, le choix d’une intervention unique en post-levée peut suffire. Veiller à intervenir dans ce cas sur des adventices jeunes, dans des conditions poussantes et en dehors de fortes amplitudes thermiques.



#Pois #Féverole #Fertilisation #Adventices #Cultures



SOURCE: www.terre-net.fr

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Bonnet Aurélien

Les rendements des pois d’hiver semés au printemps

Si les semis de pois d’hiver restent possibles pendant le printemps, il ne faut toutefois pas s’attendre à des rendements exceptionnels, compte tenu des besoins de la plante pour sa croissance.



À noter cependant que les rendements ne seront pas forcément aussi bons que les pois d’hiver semés à l’automne, avec une pénalité pouvant aller jusqu’à 5-10 q/ha selon l’année. La raison est que le pois d’hiver nécessite environ 200°C jours de plus que le pois de printemps pour bien finaliser ses composantes de rendement. Cette somme de température pourrait manquer avec une fin de cycle de culture écourté. Par rapport à un pois de printemps, le potentiel est moins assuré en cas d’année non optimale.



#Pois #Pois_d_hiver #Céréales #Céréales_d_hiver



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Lire aussi

Les pois d’hiver semés au printemps, à l'adresse: www.talkag.com

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Bonnet Aurélien

Les pois d’hiver semés au printemps

Avec des pluies abondantes dès début novembre, de nombreux agriculteurs ont été pris au dépourvus pour leur semis de pois d’hiver. Ces pluies se sont abattues sur une grande partie de la zone Nord-Est de la France, rendant les sols non praticables.



Il est possible de semer son pois d’hiver au printemps. Pour cela, il suffit de le semer comme un pois de printemps en respectant les mêmes dates de semis et les recommandations d’implantation. Attention à ne pas semer trop tôt (début février) sous risque de gelées pouvant détruire les jeunes plantules (seuil de tolérance au froid de 0°C durant les quatre jours suivant le semis) et à bien attendre que les sols soient ressuyés. Le pois d’hiver se récoltera à la même période que le pois de printemps, s’adaptant finalement au cycle d’une culture de printemps grâce à un effet accélérateur de la photopériode printanière sur son cycle.



#Pois #Pois_d_hiver #Céréales #Céréales_d_hiver



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Emart Gilbert

Conséquences des infestations des adventices dans la culture du pois

Jusqu’à 50% de pertes de rendements



Dans les systèmes n’ayant pas recours aux herbicides, les infestations d’adventices affectent le rendement en pois. Les pertes sont évaluées entre 20 et 50 %. Moins de graines sont produites par tige de pois en raison de la diminution de la nutrition azotée. Les adventices sont plus compétitives que le pois pour prélever l’azote minéral du sol. Le pois doit se contenter de la fixation symbiotique de l’azote atmosphérique par les nodosités racinaires. Cette fonction devient insuffisante pour couvrir les besoins du pois en raison d’une limitation du potentiel de fixation : développement racinaire du pois lent et installation lente de sa couverture foliaire.



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Emart Gilbert

Les adventices difficiles à détruire dans la culture du pois : Graminées (ray-grass, vulpin)

Le labour a fait ses preuves depuis longtemps sur les graminées. Les faux-semis de fin d’été - automne sur ray-grass ou vulpin peuvent être également efficaces pour baisser le stock grainier à condition d’intervenir dans de bonnes conditions



Dans les situations à risque de résistances ou en cas de résistance déclarée, l’utilisation d’un herbicide à base propyzamide à 1,875 l/ha (KERB FLO, etc.) est fortement conseillée. Le délai avant récolte (DAR) limite la propyzamide au pois d’hiver. L'implantation d'un pois de printemps constitue un excellent levier de lutte contre les graminées dans la rotation. Néanmoins, en cas de risque de forte infestation en ray-grass au printemps, il est conseillé d’opter pour une solution de présemis : BONALAN 6 l/ha. Cette stratégie pourra ensuite intégrer un herbicide à base de cléthodime (CENTURION 240 EC, etc.).



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Emart Gilbert

Les adventices difficiles à détruire dans la culture du pois : Ambroisie

Un adventice difficile à détruire dans la culture du pois



Les levées étant échelonnées, il est préférable d’adopter une stratégie reposant sur un programme de traitement. La prélevée ne présente pas d’efficacité satisfaisante. BASAGRAN SG 1,4 kg/ha ou CORUM 1 à 1.25 l/ha + Dash. En forte infestation, privilégiez un programme à 2 applications : BASAGRAN SG à 1 kg/ha à 2-3 feuilles de l’ambroisie, puis CORUM 0,6 L/ha + DASH HC 10 jours plus tard.



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Emart Gilbert

Les adventices difficiles à détruire dans la culture du pois : Ammi majus

Les adventices sont difficiles à contrôler uniquement en post-levée. Il est conseillé de traiter une première fois en prélevée puis une seconde en post-levée



L'ammi majus présente un développement végétatif exubérant qui peut le rendre très concurrentiel en fin de cycle. Il est capable de germer toute l'année avec un pic en sortie d'hiver, début de printemps. Les germinations s'estompent à l'approche des fortes températures estivales pour reprendre à l'automne. La fructification a lieu pendant l'Été. En raison de ces caractéristiques biologiques et de son mode de levée plutôt échelonné, la rotation des cultures n’est pas un levier très efficace. Des faux-semis dans l’interculture de fin d’été peuvent contribuer à réduire le stock semencier superficiel. Le labour n’a pas d’effet.



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Emart Gilbert

Gestion agronomiques des adventices en pois

Le pois est sensible aux adventices. Cependant, il est conseillé de semer le pois sur un terrain propre





La maîtrise des adventices du pois passe au préalable par des mesures de prévention. Il faut varier les culture dans la rotation et utiliser les semences propres. Il faut faire les faux-semis pour diminuer le stock des graines d’adventices dans le sol, veiller à ne pas trop affiner un sol sensible à la battance. Il est également impératif de choisir une variété capable de couvrir rapidement le sol (hauteur, port, biomasse…); ce qui va favoriser l’étouffement des adventices. Les passages de la herse étrille ou la houe rotative en prélevée limitent les risques d’infestation en début de cycle. Les mesures préventives, mais également curatives, sont importantes car le salissement de fin de cycle est fréquent dans le pois, lorsque sa biomasse végétale s’éclaircit. Or cette concurrence tardive impacte le rendement du pois.



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Emart Gilbert

Réussir l’implantation pour limiter l’attaque des maladies du pois

Un pois bien implanté est protégé contre les maladies surtout racinaires





Il est indispensable de respecter les dates et densités de semis préconisées. Les semis précoces sont les plus exposés à certaines maladies, en particulier l’ascochytose et la bactériose. Un couvert trop dense induit un microclimat favorable aux maladies aériennes (ascochytose, mildiou, botrytis). Le fait de ne pas semer trop dense permet de limiter le développement végétatif du couvert et ainsi de réduire les risques de maladies.



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#Pois_d_hiver #Maladies_de_plantes #Conseils_agronomiques

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Emart Gilbert

Lutter contre la sitone du pois

Il est impératif de surveiller les parcelles et intervenir au bon moment



De la levée à la sortie des gousses, le pois est menacé par différents ravageurs qui peuvent provoquer des dégâts importants. Pour optimiser l’efficacité du traitement, il est essentiel d’intervenir au bon moment. Cela suppose de surveiller l’arrivée des ravageurs dans les parcelles de pois, de bien les identifier et de vérifier si le nombre d’individus présents justifie un traitement. Une intervention insecticide est préconisée avant le stade de 6 feuilles lorsque 5 à 10 morsures sont repérées sur les premières feuilles. L’intervention vise les adultes avant les pontes. Il n’y a aucun de moyen de lutte curative contre les larves. Les sitones du pois sont présents tout au long du cycle de la culture. Ils peuvent provoquer jusqu’à 30 q/ha de pertes de rendement. Pour les contrôler sans préjudice pour la faune auxiliaire et l’environnement, il est indispensable de raisonner les interventions au cas par cas.



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#Sitone #Ravageurs #Pois_d_hiver #Conseils_agronomiques

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Emart Gilbert

Ravageur du pois d’hiver : Le sitone

Il s’agit d’un charançon de 3,5 à 5 mm de long, de couleur gris brun, avec des yeux proéminents



Ils entraînent des dégâts aériens et racinaires. Les adultes attaquent les bords des feuilles sous forme d’encoches semi-circulaires. Ces morsures n’ont pas d’impact sur le rendement. C’est la destruction des nodosités, puis des radicelles et des racines par les larves qui en perturbant l’alimentation azotée des cultures, engendre une nuisibilité. Au-delà du stade 6 feuilles, les traitements deviennent inutiles, car les adultes ont déjà pondu. Les pyréthrinoïdes homologués protègent uniquement les feuilles présentes lors du traitement. Le sitone apparaît souvent après le thrips. Il est rare de pouvoir maîtriser ces deux ravageurs par une seule application en végétation.



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#Sitone #Ravageurs #Pois_d_hiver





Emart Gilbert

Le pois d’hiver : Semer le pois d’hiver au bon moment

Pour réussir l’implantation du pois, il faut bien ressuyer le sol



Le pois d’hiver n’est pas conseillé à proximité de la bordure maritime allant de la Bretagne jusqu’au Nord-Pas-de-Calais, car le climat plutôt doux et humide favorise le développement de maladies aériennes. L’objectif est d’avoir des pois d’hiver levés et pas trop développés avant les fortes gelées. En cas de semis trop précoce, les pois risquent d’être trop développés à l’automne, les rendant plus sensibles aux gels durant l’hiver et aux maladies aériennes au printemps. S’il est impossible de semer les variétés de pois d’hiver à l’automne, le semis peut être reporté au printemps. Le rendement est pénalisé en moyenne de 7 q/ha (par rapport à un pois de printemps). Semer à 3-4 cm en sol limoneux, 4-5 cm en sol argilo-calcaire et en sol de craie. En pois d’hiver, le PMG de la plupart des variétés est inférieur au pois de printemps, donc les doses sont plus faibles. Semer trop dense entraîne le développement d’un couvert dense qui favorise les attaques de maladies aériennes et la verse. L’écartement entre rangs va de 12 à 35 cm en fonction du type de semoir.



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Dedieu Philippe

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Messages techniques régionaux Sud-Ouest :



Ci-dessous les liens pour l'actualité technique de certaines filières :



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Bonnet Aurélien

Tordeuse du pois

Cydia nigricana sur pois de pintemps



Ce lépidoptère (Cydia nigricana) provoque une faible perte de rendement du pois (quelques quintaux par hectare) mais sa larve affecte l’aspect des grains en les grignotant

Cet insecte présente une seule génération par an. Il hiverne à l’état larvaire dans le sol des parcelles ayant porté une culture de pois, à faible profondeur, à l’intérieur d’un cocon aggloméré de particules de terre. Il le quitte début mai, avant la nymphose, pour se chrysalider dans un cocon léger sous la surface du sol.

L’éclosion et le vol des papillons vers les nouvelles cultures de pois débutent à la fin du mois de mai, coïncidant avec le début de la floraison du pois, et se poursuivent jusqu’à la fin du mois de juillet. La ponte survient 2 à 3 jours plus tard. Les œufs sont déposés pendant 3 semaines environ, isolément, ou par petits groupes, de préférence sur les stipules. Après une incubation d’une à deux semaines environ, la chenille passe par un court stade baladeur (probablement un jour) avant de pénétrer dans une gousse. Elle quitte la gousse pour gagner le sol après s’être nourrie de graines pendant 3 semaines environ. Elle y tisse un cocon dans lequel elle hivernera.

Certaines conditions atmosphériques, en particulier le vent et le froid, entravent l’activité des adultes. Ainsi, lorsque les températures maximales sont inférieures à 18°C, le vol des papillons est limité.

#Tordeuse

#Pois

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Les attaques des Thrisp sur le pois de printemps

Thrips sur pois de printemps



Le thrips prolifère principalement dans les parcelles de pois de printemps, dans la moitié nord de la France et plus particulièrement dans les régions : Nord-Picardie, Normandie, Bassin parisien, Centre et Champagne crayeuse.

Le thrips pique le végétal pour se nourrir et injecte une salive toxique dans la plante. Celle-ci initie de nombreuses ramifications, est chétive et naine. Les feuilles sont gaufrées et se couvrent de taches jaunes ou brunes.

#Thrips

#Pois

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Pucerons verts sur pois de printemps

Description



Le puceron vert du pois (Acyrthosiphon pisum) est très fréquent en France. Il peut être très nuisible sur pois protéagineux, provoquant jusqu’à 30 q/ha de chute de rendement.

Les pucerons verts du pois vivent essentiellement sur les légumineuses sauvages et cultivées. Comme de nombreuses espèces de pucerons, les pucerons verts peuvent rester pendant toute la mauvaise saison sur les plantes lorsque le temps est doux. Les individus se reproduisent sous forme parthénogénétique, c'est-à-dire que la population, essentiellement constituée par des individus femelles redonne d’autres individus sans fécondation avec des mâles. Les pucerons sont sur place, aux alentours des champs à la sortie de l’hiver et peuvent coloniser les cultures de légumineuses au printemps très précocement.

A l’approche d’un hiver rigoureux, la population de pucerons se différencie en des individus mâles et femelles. Après fécondation, ils produisent des œufs qui sont déposés sur des légumineuses pérennes. C’est une forme de conservation de l’espèce.

Au printemps, dès février ou mars, ces derniers éclosent, donnent des individus sans ailes qui se développent sur place. Après plusieurs générations, des formes ailées apparaissent, elles vont alors coloniser les plantes cultivées très attractives. La colonisation est plus tardive que lorsque les pucerons restent sur place.

#Pucerons

#Pois

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Les limaces sur le pois de printemps?

Limaces sur pois de printemps



Deux espèces de limaces sont responsables de dégâts sur grandes cultures en France : la limace grise ou loche (Deroceras reticulatum) et la limace noire (Arion hortensis).

Elles dévorent les feuilles des plantules et parfois les graines germées ou non.

Les attaques sont rares, sauf après des conditions favorables telles qu’un temps très humide, l’utilisation d’une culture intermédiaire, l’enfouissement de paille, …

#limaces

#Pois

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Les cécidomyies attaque aussi le pois de printemps

Cécidomyies sur pois de printemps



La cécidomyie du pois (Contarina pisi), dont les larves provoquent un avortement des boutons floraux, touche pour l’instant la Champagne crayeuse et une partie de la Picardie.

L'adulte est un diptère, ressemblant à un petit moucheron gris, de 2 mm ayant de longues pattes.

La larve est un asticot blanchâtre sans pattes, long de 1 à 3 mm selon l’âge.

Les adultes émergent dans des parcelles de blé, cultivées en pois l’année précédente. Les femelles volent ensuite vers les parcelles de pois avoisinantes. Elles pondent très rapidement dans les boutons floraux encore protégés sous les feuilles. L’éclosion a lieu 4 jours plus tard et les larves se développent dans les boutons floraux en formant des gales. Au terme de leur développement (qui dure une quinzaine de jours), les larves se laissent tomber sur le sol où elles tissent un cocon ; elles ne seront actives qu’au printemps suivant.

#cécidomyies

#Pois

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Les attaques des bruches sur le pois de printemps

Bruches sur pois de printemps



Les bruches adultes, que ce soit sur pois ou féverole, ne font pas de dégâts directs sur les cultures. Ce sont les larves qui réalisent leur cycle de développement dans les graines et conduisent à une dépréciation de la qualité, encore plus importante en alimentation humaine.

La lutte cible néanmoins l'adulte, la larve n'étant jamais accessible : après éclosion, elle entre directement dans la graine sans phase "baladeuse".

#Bruches

#Pois

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Attaques sur le pois de printemps: Sclérotinia

Sclérotinia sur pois de printemps



Le sclérotinia (Sclerotinia sclerotiorum) peut être observé sur lupin. C’est le même parasite que celui observé sur pois, féverole, colza, tournesol ….

Les symptômes se présentent sous forme d’un mycélium blanc à l’intérieur de la tige avec présence de sclérotes de forme ovoïde. La maladie entraîne le dessèchement de la plante.

Un printemps humide et la présence d’autres cultures oléo-protéagineuses au sein de la rotation sont des facteurs favorables à son apparition.

#Sclérotinia

#Pois

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Attaques de l'oïdium sur le pois de printemps

Oïdium sur pois de printemps



Le parasite de faiblesse des étés chauds et secs (Erysiphe pisi) est souvent peu préjudiciable au rendement, sauf lors d’attaque particulièrement précoce. Sa présence gêne plutôt la récolte en produisant beaucoup de poussières (risque d’échauffement des moissonneuses-batteuses).

Cette maladie apparaît vers la fin mai dans le Sud de la France et peut progresser ensuite plus tardivement dans les régions Nord.

Les symptômes d’oïdium s’observent sur l’ensemble des organes végétatifs aériens : les feuilles, les vrilles et les gousses. Les organes les plus âgés sont également les plus atteints.

#Oïdium

#pois

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Ravageurs du pois de printemps

Botrytis sur pois de printemps



Les attaques de botrytis (Botrytis cinerea) sont moins fréquentes que l'ascochytose (2 années sur 10).

On reconnaît cette maladie à la pourriture grise qui s'installe sur les pétales puis sur les gousses ou à l'aisselle des feuilles, à la suite de la chute des pétales contaminés. Les pertes de rendement avoisinent les 10-15 q/ha. Elles sont essentiellement dues à la destruction des gousses et des graines en formation.

Les facteurs favorables au développement du botrytis sont une forte hygrométrie et des températures élevées (proches de 18-20°C).

#Botrytis

#Pois_Printemps

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Aphanomyces, pourriture racinaire sur le pois de printemps

Desccription



La maladie est due à un pathogène tellurique (Aphanomyces euteiches), qui occasionne une pourriture du système racinaire (racines molles et brunes puis desséchées). En végétation, elle s'exprime le plus souvent sous formede foyers dans lesquels les plantes sont nanifiées et/ou jaunissantes.

Lors d’une attaque importante d’aphanomyces sur pois de printemps, on observe une réduction de la croissance des plantes et/ou un jaunissement des parties aériennes des pois avant floraison. Les racines sont totalement nécrosées (d’abord molles et marron clair, puis sèches et noires)et les nodosités ne sont plus fonctionnelles (du rose, elles virent au marron). Il existe une confusion avec un excès d'eau qui provoque aussi un jaunissement des parties aériennes du pois. Dans ce cas, les racines sont saines mais finissent par noircir et pourrir si l’asphyxie se prolonge.

#Aphanomyces

#Pois

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l’ascochytose est le nouveau nom de l’anthracnose.

Anthracnose sur pois de printemps



L’anthracnose est la maladie aérienne la plus fréquente chez le pois. La pression de la maladie est souvent moins importante sur pois de printemps que sur pois d’hiver. Cette maladie est due à un complexe fongique dont le principal agent est Didymella pinodes (= Mycosphaerella pinodes).

La maladie progresse du bas vers le haut de la plante et affecte tous les organes. Des nécroses violacées à brunes s’installent à la base des tiges. Si celles-ci sont ceinturées par la maladie, les plantes deviennent alors plus sensibles à la verse. Des ponctuations de couleur brun foncé apparaissent sur les feuilles et les gousses puis évoluent en nécroses irrégulières. La maladie entraîne jusqu’à 20 q/ha de perte de rendement en cas de forte attaque. Les variétés hautes à bonne tenue de tige sont moins attaquées que les variétés les plus versantes, du fait d’un microclimat moins favorable à la maladie dans le couvert.

#Anthracnose

#Pois

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Les dégâts de la tordeuse sur le pois

Tordeuse sur pois d’hiver



A l’âge adulte, la tordeuse (Cydia nigricana ou Laspeyresia nigricana) est un petit papillon brun de 15 mm d’envergure. Présent dans la moitié nord de la France, il vole lorsque la température maximale dépasse 18°C. 2-3 jours après son arrivée dans la parcelle, il pond pendant 3 semaines environ, de préférence sur les feuilles de pois de printemps et d’hiver.

Les chenilles, de 13 à 18 mm de long, sont bicolores : le corps est blanc-jaune et la tête brun clair. Elles apparaissent après une incubation de 1 à 2 semaines selon la température. Elles ont un court stade « baladeur ». Pendant ce temps, elles se déplacent pour pénétrer dans une gousse de pois, où elles grignotent les graines.

#Tordeuse

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Thrips sur pois

Le thrips qui attaque le pois est le thrips du lin et des céréales.



Le thrips prolifère principalement dans les parcelles de pois de printemps, dans la moitié nord de la France et plus particulièrement dans les régions : Nord-Picardie, Normandie, Bassin parisien, Centre et Champagne crayeuse. Le thrips pique le végétal pour se nourrir et injecte une salive toxique dans la plante. Celle-ci initie de nombreuses ramifications, est chétive et naine. Les feuilles sont gaufrées et se couvrent de taches jaunes ou brunes.

En pois de printemps, les pertes de rendement liées au thrips s’élèvent à 30 q/ha si la levée est lente (mauvaises conditions climatiques). Si elle est rapide, la nuisibilité de ces insectes est faible (impasse envisageable).

Un précédent blé ou lin est favorable à la présence du thrips dans la parcelle de pois de printemps. La larve sort du sol vers 7-8 °C.

En pois d’hiver, il n’a jamais été observé de dégâts de thrips.

#Thrips

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Le pois de printemps attaqué par vols successifs des sitones

Sitone sur pois d’hiver



Le sitone (Sitona lineatus) est un charançon de 3,5 à 5 mm de long, de couleur gris brun, avec des yeux proéminents. Il arrive par vols échelonnés sur les parcelles de pois, depuis ses zones refuges (haies, bois, jachères, légumineuses). Sa larve, 6 mm de long, est bicolore : le corps est blanc et la tête, brun-jaune.

Le sitone vit sur tout le territoire français avec une zone de prédilection au sud de la diagonale Rennes-Lyon : Rhône-Alpes, PACA, Sud-Ouest, Poitou-Charentes, Grand Ouest et le Berry sont les régions les plus attaquées.

#Sitone

#pois_d’hiver

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Le puceron vert sur un pois d'hiver

Pucerons verts sur pois d’hiver



Les pucerons verts du pois vivent essentiellement sur les légumineuses sauvages et cultivées. Comme de nombreuses espèces de pucerons, les pucerons verts peuvent rester pendant toute la mauvaise saison sur les plantes lorsque le temps est doux. Les individus se reproduisent sous forme parthénogénétique, c'est-à-dire que la population, essentiellement constituée par des individus femelles redonne d’autres individus sans fécondation avec des mâles. Les pucerons sont sur place, aux alentours des champs à la sortie de l’hiver et peuvent coloniser les cultures de légumineuses au printemps très précocement.

A l’approche d’un hiver rigoureux, la population de pucerons se différencie en des individus mâles et femelles. Après fécondation, ils produisent des œufs qui sont déposés sur des légumineuses pérennes. C’est une forme de conservation de l’espèce.

Au printemps, dès février ou mars, ces derniers éclosent, donnent des individus sans ailes qui se développent sur place. Après plusieurs générations, des formes ailées apparaissent, elles vont alors coloniser les plantes cultivées très attractives. La colonisation est plus tardive que lorsque les pucerons restent sur place

#Puceron_vert

#Pois_d'hiver

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Dégats des limaces sur le pois d'hiver

Limaces sur pois d’hiver



Deux espèces de limaces sont responsables de dégâts sur grandes cultures en France : la limace grise ou loche (Deroceras reticulatum) et la limace noire (Arion hortensis).

Elles dévorent les feuilles des plantules et parfois les graines germées ou non.

Les attaques sont rares, sauf après des conditions favorables telles qu’un temps très humide, l’utilisation d’une culture intermédiaire, l’enfouissement de paille, …

Il y a généralement 2 générations de limaces par an. Ce sont les jeunes limaces issues des éclosions d’avril et mai qui sont à l’origine des attaques sur les semis de printemps. Ces limaces pondent à nouveau dans la culture en place. Suivant les températures, les adultes passent ou non l’été. Mais les œufs, plus résistants, donnent naissance à une nouvelle génération en septembre. Cette deuxième génération pond alors en novembre - décembre pour redonner les jeunes limaces du printemps.

Sur une période de 24h, la limace a tendance à se nourrir au coucher du soleil et à l’aube. Elle est essentiellement active la nuit. Elle consomme jusqu’à 50% de son poids par jour.

#Limaces

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Ravageurs du pois d'hiver: La cécidomie

Cécidomyies sur pois d’hiver



La cécidomyie du pois (Contarina pisi), dont les larves provoquent un avortement des boutons floraux, touche pour l’instant la Champagne crayeuse et une partie de la Picardie.

L'adulte est un diptère, ressemblant à un petit moucheron gris, de 2 mm ayant de longues pattes.

La larve est un asticot blanchâtre sans pattes, long de 1 à 3 mm selon l’âge.

Les adultes émergent dans des parcelles de blé, cultivées en pois l’année précédente. Les femelles volent ensuite vers les parcelles de pois avoisinantes. Elles pondent très rapidement dans les boutons floraux encore protégés sous les feuilles. L’éclosion a lieu 4 jours plus tard et les larves se développent dans les boutons floraux en formant des gales. Au terme de leur développement (qui dure une quinzaine de jours), les larves se laissent tomber sur le sol où elles tissent un cocon ; elles ne seront actives qu’au printemps suivant.

#Cécidomyies

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Les ravageurs du pois d’hiver: les bruches

Bruches sur pois d’hiver



La bruche (Bruchus pisorum) est un petit coléoptère de 4 mm de long, dont l’abdomen possède deux taches noires reconnaissables. Sa larve, apode, au corps blanc et à la tête brune, mesure 5-6 mm. La bruche présente une seule génération par an.

L’adulte pond sur les gousses. Après éclosion, la larve pénètre directement, sans se « balader » contrairement à la tordeuse, dans la gousse puis dans la graine. Elle s’y développe pour donner un adulte qui sort de la graine en faisant un trou bien rond. Ce dernier gagne une zone d’hivernage (zone boisée) sans se reproduire dans les graines stockées. Ainsi, aucune nouvelle graine n’est attaquée pendant le stockage.

Surveiller de début floraison à fin floraison. Sur les gousses, observer les œufs de forme allongée (0,6 x 1,5 mm) et de couleur blanc crème afin d’identifier la présence de l’insecte dans la parcelle.

Les bruches provoquent une faible perte de rendement mais affectent la qualité des graines. Les orifices formés dans les graines sont préjudiciables en alimentation humaine (seuil de 1 à 3%) et pour la production de semences (pouvoir germinatif faible). En alimentation animale, les seuils de dégâts tolérés sont élevés (10%).

#bruches

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Sclérotinia sur pois d’hiver

Description de la maladie



Le sclérotinia (Sclerotinia sclerotiorum) peut être observé sur lupin. C’est le même parasite que celui observé sur pois, féverole, colza, tournesol ….

Les symptômes se présentent sous forme d’un mycélium blanc à l’intérieur de la tige avec présence de sclérotes de forme ovoïde. La maladie entraîne le dessèchement de la plante.

Un printemps humide et la présence d’autres cultures oléo-protéagineuses au sein de la rotation sont des facteurs favorables à son apparition. Selon les études, Le sclérotinia a une nuisibilité faible sur le pois d'hiver..

#pois_d’hiver

#Sclérotinia

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Mildiou sur pois d’hiver

Présentation de la maladie



Un feutrage gris recouvre la face inférieure des stipules et les vrilles du pois courant floraison. L’agent pathogène responsable de cette apparution est le Peronospora pisi.

En l’absence de traitement des semences du pois, le mildiou peut provoquer une perte de rendement jusqu’à 20 q/ha.

Quand les semences sont traitées contre le mildiou, des contaminations secondaires peuvent se développer en fin de persistance du traitement de semences, à l’approche de la floraison ou courant floraison. La nuisibilité est alors faible à nulle.

Traiter les semences contre le mildiou avec WAKIL XL (0,2 kg/q – 14 €/q). Ce traitement (metalaxyl m + cymoxanil + fludioxonil) substance permet également de lutter contre le complexe de maladies responsable de fontes de semis.

#Mildiou

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Mildiou sur pois d’hiver

Description



Elle est favorisé par un retour du pois fréquent, un climat humide, peu ensoleillé, températures fraîches (actif entre 6°C à 20°C).

Sur la feuille, l’attaque primaire touche les jeunes plantes qui deviennent naines, recroquevillées, couvertes d’un feutrage gris violacé. Les attaques précoces passent souvent inaperçues (nombre limité). Les attaques secondaires, plus tardives, entrainent des jaunissements sur la face supérieure et un duvet gris violacé sur la face inférieure.

Sur les gousses : les symptômes extérieurs sont des taches vertes claires sans sporulation. A l’intérieur, présence d’un mycélium blanc, les grains sont tachés ou absents.

#Mildiou

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Aphanomyces sur pois d’hiver

Description de la maladie



La maladie est due à un pathogène tellurique (Aphanomyces euteiches), qui occasionne une pourriture du système racinaire (racines molles et brunes puis desséchées). En végétation, elle s'exprime le plus souvent sous forme de foyers dans lesquels les plantes sont nanifiées et/ou jaunissantes.

Aphanomyces est fréquent dans les sols français. Les niveaux d’infestation sont variables et le pathogène est disséminé par foyers dans les parcelles. La culture d’un pois peut multiplier l’inoculum, y compris sur des surfaces très peu infestées avant le semis.

Dans les sols infestés, une pluviométrie importante (les spores se déplacent dans l’eau libre du sol) et des températures douces (> 16°C) favorisent l’expression de la maladie. Lorsque ces conditions sont réunies dans le mois suivant la levée, les attaques d’aphanomyces peuvent conduire à des pertes importantes, jusqu’à 50 q/ha sur pois de printemps en situation fortement contaminée.

Des mois d’avril et mai secs limitent, à l’inverse, le développement de la maladie.

#Aphanomyces

#pois_d’hiver

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Emart Gilbert

Culture pois

Aphanomyces



Le sort des légumineuses en couvert



Le cycle du pathogène est très rapide et les conditions climatiques peuvent être favorables au développement de la maladie entre mars et fin octobre. Les légumineuses semées à partir de fin juillet-début août et détruites avant la fin de leur cycle végétatif durant l’hiver ou semées au printemps peuvent donc multiplier le pathogène même si leur cycle cultural est court. Le choix de l’espèce ou de la variété est donc également important. Lorsque le PI est inférieur à 1 et qu’il n’existe pas d’espèce sensible, en culture principale dans la rotation, il n’y a pas de restriction. Si le PI est supérieur à 1 ou si des légumineuses sensibles sont présentes dans la rotation (pois, lentille...), il est recommandé de choisir des variétés non hôtes ou très résistantes. Il est fortement déconseillé d’insérer du pois, de la lentille ou toute autre espèce sensible quand du pois ou de la lentille sont déjà en culture principale.



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#Aphanomyces #Légumineuses #Pois #Maladies_de_plantes





Emart Gilbert

Culture pois

Aphanomyces



Gestion de de la pathologie



Avant d’implanter une légumineuse sensible en culture principale, réaliser le test aphanomyces. Il s’agit d’un prélèvement de terre à envoyer à un laboratoire, dont le résultat vous revient sous 2 mois sous forme d’une note allant de 0 (pas de pathogène) à 5 (parcelle très infestée).



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#Aphanomyces #Gestion #Pois

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Emart Gilbert

Culture pois

Aphanomyces



Espèces sensibles à l'aphanomyces



Plusieurs espèces de légumineuses sont sensibles à Aphanomyces : le pois, la lentille, la luzerne et la gesse sont hôtes du pathogène. En revanche, la féverole, le lupin, le pois chiche, le fenugrec, le soja, le sainfoin et le lotier sont non hôtes ou très résistants. Ils ne multiplient pas l’inoculum. Enfin, concernant le trèfle et la vesce, la sensibilité dépend de la variété.



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#Aphanomyces #Pois #Conseil_agronomiques

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Emart Gilbert

Culture pois

Test aphanomyces



Qu’est-ce que l'aphanomyces ?



L'aphanomyces est un pathogène d'origine tellurique qui se conserve jusqu'à 20 ans dans le sol. Lorsque les conditions climatiques sont favorables, le pathogène, attiré par les exsudats racinaires, colonise les racines du pois. Celles-ci deviennent brunes et molles, les nodosités ne sont plus fonctionnelles. En végétation, la maladie apparaît le plus souvent sous forme de foyers au sein desquels les plantes sont nanifiées et jaunissantes.



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#Aphanomyces #Pois #Conseil_agronomiques

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Emart Gilbert

Culture pois chiche

Publications



Guide de culture pois chiche 2018

Télécharger ici le guide de culture du pois chiche 2018. Vous avez également la possibilté de commander ce guide en version papier.



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Emart Gilbert

Pois Chiche

Guide de culture



Télécharger le guide de culture du pois chiche



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#PoisChiche #GuideDeCulutre #Télécharger





Emart Gilbert

Pois Chiche

Optimisation de la récolte



Conseils agronomiques



Le pois chiche a la particularité d’émettre des ramifications secondaires et des fleurs, même en fin de cycle, dès lors qu’il y a des précipitations même minimes. Elle est indéterminée. Cette particularité ne doit pas repousser le déclenchement de la récolte, qui risquerait d'engendrer des pertes liées à une moisson trop tardive. la décision de la récolte résulte d’une bonne observation de la plante. Il convient ensuite de bien régler la moissonneuse afin d’obtenir des graines battues qui ne soit pas splittés, cassés tout en limitant le taux d’impuretés. Il convient de toujours bien vérifier les pertes à l’arrière de la machine et d’ajuster les réglages si besoin. Ce printemps a été favorable à l'ascochytose. Les conditions météorologiques propices aux contaminations ont été fréquemment réunies durant le cycle de la plante. On constate à ce jour, dans de nombreuses parcelles, une présence plus ou moins importante d’ascochytose.



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#PoisChiche #Récoltes





Emart Gilbert

Culture de pois

Rendements



Un rendement en pois de 45 à 60 q/ha



Le rendement du pois est de 45 q/ha en moyenne française sur ces dernières années. Les seuils de rentabilité varient selon les régions. Certaines variétés, comme KAYANNE en pois de printemps et ENDURO en pois d’hiver, peuvent même atteindre ou dépasser 60 q/ha dans les secteurs les plus favorables.



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#Culture #Rendements #Pois





Emart Gilbert

Culture de pois

Récoltes et stockages



Stockage du pois



Lors de l’arrivée en stockage, la température des graines de pois peut être très élevée. Pour assurer une bonne conservation, ventiler l'air ambiant dès la mise en silo pour abaisser rapidement la température vers 18-20°C et abaisser progressivement le taux d’humidité. La bruche adulte peut sortir des graines au stockage, traiter pour éliminer le ravageur qui nuit à la qualité du pois, surtout en alimentation humaine et pour l'utilisation des semences.



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#Culture #Stockage_à_la_ferme

#Pois





Emart Gilbert

Culture de pois

Récoltes et stockages



Récolter en fonction des variétés et débouchées



Avant de récolter le pois, s’assurer que son taux d’humidité est proche de 14%. Dans le cas des variétés résistantes à la verse, il est inutile de poser la barre de coupe de la moissonneuse sur le sol. Pour des pois destinés à la consommation humaine, il faut agir avec précaution et procéder par étape.



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Emart Gilbert

Ravageurs de pois

La bruche



Un rendement peu affecté mais une qualité altérée



Les bruches provoquent une faible perte de rendement mais affectent la qualité des graines. Aucun insecticide n’est efficace contre les larves qui pénètrent directement dans les gousses après éclosion. Une seule application est réglementairement possible en floraison pour lutter contre la bruche. A la récolte, il reste souvent des graines “bruchées” d’où sortiront des adultes au cours du stockage. Or, il ne doit pas y avoir d’insectes vivants pour commercialiser les graines. En tuant ces bruches au stockage, l’intervention contribue à réduire les populations l’année suivante.



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#Ravageurs #Bruche #Pois





Emart Gilbert

Ravageurs de pois

La tordeuse



Chenilles rongeurs de gousses



Les chenilles de cet espèce de papillon ont un court stade. Pendant ce temps, elles se déplacent pour pénétrer dans une gousse de pois, où elles grignotent les graines. Pour quantifier la présence de tordeuse, poser un piège sexuel au tout début de la floraison du pois. La capture des papillons mâles permet de suivre la courbe de vol. Pour lutter contre, les traitements visent les chenilles avant qu’elles ne pénètrent dans la gousse du pois, et adapter les traitement en fonction des débouchées.



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Emart Gilbert

Ravageurs de pois

Le puceron vert



Le puceron vert est le principal ravageur du pois



Il est de couleur vert clair, parfois rose. Présent en quantité importante et dans toute la France, ce ravageur peut être très nuisible. Pour lutter contre eux, placer une feuille blanche rigide sous la végétation et secouer les tiges. Les pucerons se laissent tomber. Répéter l'opération plusieurs fois et Intervenir avant que les colonies ne soient trop bien installées. En présence de pucerons, si Karate K est disponible, intervenez à partir de 10 pucerons par plante impérativement avant le début de la floraison. En l’absence de Karate K, intervenez avec un pyréthrinoïde autorisé au seuil de 10 pucerons par plante.



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#PuceronsVert #Ravageurs #Pois





Emart Gilbert

Ravageurs de pois

La cécidomyie



Un moucherons causant des dégâts sur le pois



La cécidomyie est un moucheron gris de 2-3 mm. L’adulte est sans incidence directe sur le rendement de la culture, puisqu’il ne s’en nourrit pas. Pour lutter contre, commencer les observations de cécidomyie du pois à partir de la formation des boutons floraux, traiter contre la cécidomyie du pois avec un insecticide de contact; privilégier le pois d’hiver.



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#Ravageurs #Cécidomyie #Pois





Emart Gilbert

Ravageurs de pois

Le sitone



Le pois de printemps attaqué



Le sitone est un charançon de 3,5 à 5 mm de long, de couleur gris brun, avec des yeux proéminents. En pois de printemps, les sitones entraînent des dégâts aériens et racinaires. Le sitone est actif par temps ensoleillé et dès que la température dépasse 12 °C. Le pois d’hiver peut être attaqué en sortie d’hiver et au tout début du printemps par temps doux. S’il y a des encoches sur le bord des feuilles, le coléoptère est présent dans la parcelle. Intervenir à partir de 5 à 10 encoches au total sur les premières feuilles commises par les sitones adultes.



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Emart Gilbert

Ravageurs de pois

Les thrips



Un ravageur commun au lin au au pois



Le thrips prolifère principalement dans les parcelles de pois de printemps. Il pique le végétal pour se nourrir et injecte une salive toxique dans la plante. Celle-ci initie de nombreuses ramifications, la plante devient chétive et naine. Les feuilles sont gaufrées et se couvrent de taches jaunes ou brunes. En pois de printemps, les pertes de rendement liées au thrips s’élèvent à 30 q/ha si la levée est lente. Si elle est rapide, la nuisibilité de ces insectes est faible. Pour lutter contre, il faut surveiller la culture dès la levée, afin de noter la présence de l’insecte dans les feuilles de pois en formation.



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