Nécessité d'une éducation financière pour nos braves Sojaculteurs.
A chaque fin de campagne agricole, les producteurs de soja pour la plupart sont heureux de réaliser un bénéfice même si ce bénéfice n'est pas proportionnel aux efforts consentis par ces derniers et dans la majorité des cas ne couvre pas les charges d'exploitation.
Toutefois quant-on scrute les différents postes de dépenses après chaque fin de campagne force est de constater que la grande partie des dépenses sont orientées vers des dépenses de consommation et de luxe (funérailles, moto personnel, voiture, luxe, festivités, cérémonie, mariage etc) au détriment des dépenses d'investissements.
Aucun investissement allant dans l'amélioration des actifs agricoles, ni dans les facteurs de production. Aucun épargne pour supporter les charges de la campagne prochaine. Et pour une nouvelle campagne, ils sollicitent toujours les aides, les crédits pour démarrer les activités et les plus chanceux obtiennent du crédit auprès des usuriers, les collectrices à des taux exorbitants. Les moins chanceux sont laissés pour compte dont la seule alternative est soit réduire la parcelle cultivable et compté sur sa force physique au pire des cas abandonnés.
Et le cycle recommence l'année.
Comment sortir nos producteurs de ce cercle vicieux ?
Une solution s'impose, celle d'aller vers une éducation financière de tous les agriculteurs, a travers des formations pratiques et sensibilisation sur ce thématique.
Amener les agrégateurs à intégrer la gestion financière dans la formation aux producteurs.
Associer les institutions de microfinance et ONG.
Il est de notre devoir de tous et surtout nous les acteurs de secteur agricole d'user de la *pédagogie et d'une éducation financière* afin de former et sensibiliser ces derniers.
Car l'agriculteur est le parent de tous, c'est la mère nourricière. #Formation_agricole
A chaque fin de campagne agricole, les producteurs de soja pour la plupart sont heureux de réaliser un bénéfice même si ce bénéfice n'est pas proportionnel aux efforts consentis par ces derniers et dans la majorité des cas ne couvre pas les charges d'exploitation.
Toutefois quant-on scrute les différents postes de dépenses après chaque fin de campagne force est de constater que la grande partie des dépenses sont orientées vers des dépenses de consommation et de luxe (funérailles, moto personnel, voiture, luxe, festivités, cérémonie, mariage etc) au détriment des dépenses d'investissements.
Aucun investissement allant dans l'amélioration des actifs agricoles, ni dans les facteurs de production. Aucun épargne pour supporter les charges de la campagne prochaine. Et pour une nouvelle campagne, ils sollicitent toujours les aides, les crédits pour démarrer les activités et les plus chanceux obtiennent du crédit auprès des usuriers, les collectrices à des taux exorbitants. Les moins chanceux sont laissés pour compte dont la seule alternative est soit réduire la parcelle cultivable et compté sur sa force physique au pire des cas abandonnés.
Et le cycle recommence l'année.
Comment sortir nos producteurs de ce cercle vicieux ?
Une solution s'impose, celle d'aller vers une éducation financière de tous les agriculteurs, a travers des formations pratiques et sensibilisation sur ce thématique.
Amener les agrégateurs à intégrer la gestion financière dans la formation aux producteurs.
Associer les institutions de microfinance et ONG.
Il est de notre devoir de tous et surtout nous les acteurs de secteur agricole d'user de la *pédagogie et d'une éducation financière* afin de former et sensibiliser ces derniers.
Car l'agriculteur est le parent de tous, c'est la mère nourricière. #Formation_agricole