La première mesure préventive à prendre est le respect des bonnes pratiques agricoles. Rotation des cultures, le champignon survivant dans les résidus de cultures infectés. Travail du sol pour encourager la dégradation des résidus de récolte. Une prise en charge spécifique de cette maladie n’est généralement pas nécessaire, car elle est sporadique et l’effet sur le rendement devrait être minime. La résistance existe dans les génotypes du maïs à travers le monde. La résistance est héritée des effets additifs et dominants, mais les effets additifs sont plus significatifs.