Par ailleurs, il est important que l’utilisateur soit là (mais ce n’est pas obligatoire) afin de faciliter la mise en œuvre du matériel ; la complexité des boîtiers peut faire perdre beaucoup de temps au moment du contrôle si on n’en a pas l’expérience.
Des défauts faciles à rectifier : Passé cette préparation, si aucune autre intervention n’a été entreprise, l’inspecteur signalera les défauts dont il aura constaté la présence. Toutefois, si le propriétaire veut éviter que son matériel soit soumis à une contre-visite ultérieure, il peut par lui-même s’assurer que certains défauts ne sont pas présents. Fixer un flexible qui pend sous les jets, resserrer un raccord pour éviter une fuite, tout cela est rapide et peut être fait « à la ferme ». De même, des traces de corrosion importante peuvent être « réparées » simplement par brossage puis peinture. Pour s’assurer davantage de réussite, il est aussi possible de faire procéder à un pré-contrôle par un marchand réparateur partenaire d’un organisme de contrôle. Ceux-ci connaissent bien le protocole et pourront procéder aux réparations nécessaires au préalable (jusqu’au réétalonnage, si nécessaire, des capteurs de débit ou d’avancement).
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