SFV est reconnu pour sa simplicité, sa fiabilité et ses bonnes performances. Mais, le concepteur tarde à faire évoluer sa mécanique devenue rudimentaire et archaïque et cesse la production de ses moissonneuses batteuses. A l’agonie, l’entreprise est reprise intégralement par l’américain Case en 1959. Le groupe américain continuera d’assembler et commercialiser les derniers SFV dans les ateliers de Vierzon. En 1960, Case décide d’arrêter la fabrication de ces tracteurs semi-diesel après une production de près de 42.000 exemplaires et va assembler des tracteurs de sa propre conception en complément de ceux importés de ses usines américaines.