Bien plus que minimiser l’impact sur la planète et sur la santé comme le fait déjà très bien l’agriculture bio, l’agro-écologie vise aussi le développement agricole. Nous épuisons les ressources alors que nous sommes de plus en plus nombreux sur terre. En 2050, la terre comptera 9 milliards d’individus pour nourrir tout le monde, nous devons arrêter de détruire la « Terre nourricière » comme la nomme Pierre Rhabi. Ainsi l’agro-écologie permet une gestion tant durable qu’équitable des ressources. Si l’agro-écologie peut paraître bien utopique pour certains, des institutions tendent à prouver son applicabilité à l’échelle mondiale. Ainsi, le Commissariat général au développement durable (CGDD) a mené une enquête sur les pratiques agro-écologiques. Le rapport du CGDD conclut que ces pratiques sont tout à fait « opérationnelles ».