Le diagnostic repose en premier lieu sur l’observation des animaux, qui permet de relever des atteintes cliniques (« poil piqué », diarrhée) ou subclinique (amaigrissement). Si elle est indispensable, elle n’est cependant pas suffisante ; des animaux paraissant sains peuvent héberger de nombreux strongles enkystés. Ensuite, le bilan épidémiologique va permettre d’avoir une approche du niveau d’immunité des différents lots de l’élevage et du niveau de pression d’infestation actuellement subi par les animaux. L’acquisition de l’immunité est estimée avec le Temps de Contact effectif (TCE).