En lien avec leurs besoins physiologiques et comportementaux, les animaux ont besoin de disposer d’une superficie minimale, ce qui correspond au respect d'une densité maximale (nombre d'animaux/m2) au-delà de laquelle on observe une diminution des performances et une augmentation des pathologies et des interactions agressives. La maîtrise des facteurs de risque est un maillon indispensable au contrôle des maladies respiratoires qui ne peut se réduire à la prescription du duo antibiotiques-vaccins. La démarche globale est modulable au cas par cas en fonction de la sévérité de la situation et des possibilités d’aménagement.