Si déjà en juin 2018 la Confédération nationale des caféiculteurs (CNAC) annonçait une bonne performance dans la production de café; cela s'explique par le fait que le gouvernement burundais a contraint les différents organismes de tutelle à travailler en synergie avec les opérateurs du secteur, mais aussi de mener une collaboration efficace avec le ministère de l'Intérieur pour lutter de manière plus efficiente contre la fraude. En outre, s’il est espéré une hausse de production de café vert qui se situe entre 20 000 et 22 000 tonnes, cela tient aussi aux bonnes pluies enregistrées et à l’utilisation accrue des engrais.