Compte tenu des faibles volumes, l'oie grise de Toulouse doit compter sur ses propres forces. Trois partenaires s'organisent en fonction de la demande d'oisons sur leur propre secteur. La Dordogne fait bonne figure avec trois éleveurs repros rescapés et deux projets. Le Gers met en route deux sites pour épauler les trois restants, tandis que les Landes s'appuient pour le moment sur celui de Chantal Brèthes, présidente des producteurs de palmipèdes de Maïsadour. Afin de minimiser le risque sanitaire, ces implantations seront nécessairement choisies dans des zones à faible densité avicole, sans autre bâtiment implanté à moins d'un km. D'un couvoir par coopérative, on est passé à un seul pour les trois. L'incubation se déroule au couvoir spécialisé.