Deux cas de figures présentés ont été chiffrés par l’institut de l’élevage
Ce qu’il en ressort, c’est que dans les deux cas de figure simulés, l'affouragement en vert présente un surcoût par rapport à une valorisation en foin ou par le pâturage. " Un surcoût qui peut être justifié par un problème d'accès au pâturage par exemple. Quand il y a une sécheresse, on peut aller chercher des repousses dans des parcelles éloignées, ou sur des luzernières qui produisent encore, ou valoriser en vert des maïs de mauvaise qualité."