Il faut reconnaître que les agriculteurs dépendent entièrement des récoltes et de la prévisibilité d’avoir un bon rendement pour survivre et aussi pour envoyer leurs enfants à l’école.Donc, s’il est possible de réduire l’impact des ravageurs, si nous pouvons leur permettre d’obtenir de meilleurs rendements – ce que nous constatons déjà – cela signifie que nous pourrons les aider à sortir de la pauvreté. C’est ce à quoi s’attèle le PRISE qui est une mise à niveau d’un programme d’aide britannique très réussi géré par le Centre for Agriculture and Bioscience International development charity (CABI). Il s’appuie, selon bbc.com, sur un réseau appelé « médecins des plantes » et des unités-conseils pour informer les agriculteurs lorsque des ravageurs ou des maladies menacent leurs cultures.