Vers un redressement agricole au Mali.
Les priorités politiques portent sur l’augmentation de la production céréalière notamment rizicole.
Ces dernières années, note encore l’ONG spécialisée, un quart du budget gouvernemental est allé au riz, tandis que les dépenses dans le secteur coton ont doublé entre 2009 et 2010. Les filières maïs, blé, mil, sorgho ainsi que l’élevage reçoivent aussi des subventions et appuis, mais moindres. Le riz, donc, bénéficie d’un soutien tous azimuts, notamment suite à l’Initiative riz de 2008-2010 avec une croissance des surfaces et des rendements, ainsi que des « investissements importants dans l’irrigation à grande échelle dans l’Office du Niger, à l’amélioration de l’accès au crédit agricole et aux subventions des intrants dans ce même périmètre, à la diffusion de la pratique du repiquage des plants, à l’introduction de nouvelles variétés.
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