Un financement de 170 millions de dollars
Pérennisation des hectares aménagés que sur l’aménagement de nouveaux hectares.
Le PARIIS représente un changement de paradigme par rapport aux approches traditionnelles, selon le principal bailleur de fonds, la Banque mondiale, qui finance le projet sur six ans à hauteur de 170 millions de dollars. Pour le représentant-résident de l’institution financière au Burkina Faso, Cheick Kanté, l’attention des ministres doit être beaucoup plus portée sur la pérennisation des hectares aménagés que sur l’aménagement de nouveaux hectares. Selon Mamadou Cissokho, président d’honneur du ROPPA le système de suivi-évaluation doit être renforcé et les modalités de capitalisation des expériences et d’apprentissage doivent être placées au cœur des stratégies de développement de l’irrigation.
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