Transformation agricole
Augmenter les rendements
Au Rwanda, la transformation agricole à marche forcée.
Incités par le gouvernement à réunir leurs microparcelles familiales pour augmenter leurs rendements, les 48 petits fermiers qui vivaient auparavant avec moins de 5 euros par mois sont devenus des hommes et des femmes d’affaires. Aujourd’hui, la coopérative compte près de 700 membres. Grâce aux subventions de l’Etat et du Fonds international de développement agricole (IFAD), une agence onusienne, Kopakama s’est dotée de deux unités de lavage de café, dont les machines atteignent une capacité de 120 kilos par heure. En 2007, un programme d’intensification visant à prioriser six cultures (maïs, blé, manioc, haricots, pommes de terre et riz) destinées à la commercialisation et à l’exportation a été imposé aux agriculteurs. A travers le pays, des marais jusqu’aux montagnes, l’Etat a aménagé les terrains en terrasses, des haies ont été plantées pour lutter contre l’érosion, des digues retiennent désormais l’eau pour irriguer les parcelles menacées par la sécheresse, en particulier dans l’est du pays.
#Transformation_agricole
www.talkag.com via @talk_ag
www.lemonde.fr
img.lemde.fr
Au Rwanda, la transformation agricole à marche forcée.
Incités par le gouvernement à réunir leurs microparcelles familiales pour augmenter leurs rendements, les 48 petits fermiers qui vivaient auparavant avec moins de 5 euros par mois sont devenus des hommes et des femmes d’affaires. Aujourd’hui, la coopérative compte près de 700 membres. Grâce aux subventions de l’Etat et du Fonds international de développement agricole (IFAD), une agence onusienne, Kopakama s’est dotée de deux unités de lavage de café, dont les machines atteignent une capacité de 120 kilos par heure. En 2007, un programme d’intensification visant à prioriser six cultures (maïs, blé, manioc, haricots, pommes de terre et riz) destinées à la commercialisation et à l’exportation a été imposé aux agriculteurs. A travers le pays, des marais jusqu’aux montagnes, l’Etat a aménagé les terrains en terrasses, des haies ont été plantées pour lutter contre l’érosion, des digues retiennent désormais l’eau pour irriguer les parcelles menacées par la sécheresse, en particulier dans l’est du pays.
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