L’agriculture face à la migration de la jeunesse



Comment les bonnes pratiques agricoles peuvent freiner la migration?



L’Afrique subsaharienne dispose à elle seule de 24% de terres potentiellement disponibles pour les cultures pluviales. De plus, l’investissement direct étranger dans l’agriculture africaine devrait progresser, pour passer de moins de 10 milliards de dollars en 2010 à plus de 45 milliards de dollars en 2020. En voilà de nombreux atouts qui peuvent permettre l’adoption de la bonne pratique agricole. Le défi est de rendre le secteur agricole plus attrayant. Ainsi, un programme de production et de commercialisation de céréales au Sénégal a augmenté considérablement les revenus des petits exploitants et rendant le secteur agricole beaucoup plus attrayant pour les jeunes. En conséquence, la migration des jeunes a diminué. Alors les jeunes des zones rurales doivent saisir les opportunités offertes par les chaînes de valeur rentables et diversifiées, ce qui va contribuer à renforcer la sécurité alimentaire et à lutter contre la malnutrition infantile, tout en limitant la migration des jeunes

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