Le Café Robusta
Relance du Robusta en Afrique
L'UE apporte un soutien majeur au café Robusta à travers l'Acram
Denis Seudieu, chef économiste à l'Organisation internationale du café (OIC) donnait son avis par rapport à cette problématique; pour lui, les filières du robusta ne démarrent pas car les politiques de soutien n'ont pas encore eu d'effets. La production est toujours relativement faible. Il faut encore un peu attendre pour savoir si les stratégies de relance en Côte d'Ivoire, au Cameroun et ailleurs auront un impact. C’est donc dans le cadre d’une relance qu’un atelier technique de deux jours a été ouvert mardi dernier à Lomé par le Centre du commerce international (CCI/ITC) dans le cadre du Programme d’appui INTRA-ACP de l’Union européenne à l’Acram pour la relance et la promotion du Café Robusta. Ce programme d’appui de l’UE est à destination des pays membre de l’Agence des cafés Robusta d'Afrique et de Madagascar (Acram) – le Cameroun, le Ghana, le Libéria, la République Démocratique du Congo et le Togo – est réalisé sur une durée de cinq années afin d’augmenter la production, la commercialisation et les revenus des producteurs de Robusta. Ce programme va permettre aux six pays membres de bénéficier d’un cadre permanent qui promeut la recherche pour le développement du café Robusta d’Afrique ; assurer un accès des exploitants à un matériel végétal amélioré ; soutenir des services de vulgarisation et des transfert de technologie, développer une stratégie de renouvellement des plantations ; renforcer l’autonomie des exploitants, développer et renforcer les organisations d’agriculteurs, augmenter la participation des femmes dans la production et en y attirant plus de jeunes ; promouvoir l’image du café Robusta d’Afrique en mettant en avant ses spécificités et en développant des produits et marques de qualité reconnue pour soutenir le développement de la filière et la consommation locale.
#Café
www.commodafrica.com
L'UE apporte un soutien majeur au café Robusta à travers l'Acram
Denis Seudieu, chef économiste à l'Organisation internationale du café (OIC) donnait son avis par rapport à cette problématique; pour lui, les filières du robusta ne démarrent pas car les politiques de soutien n'ont pas encore eu d'effets. La production est toujours relativement faible. Il faut encore un peu attendre pour savoir si les stratégies de relance en Côte d'Ivoire, au Cameroun et ailleurs auront un impact. C’est donc dans le cadre d’une relance qu’un atelier technique de deux jours a été ouvert mardi dernier à Lomé par le Centre du commerce international (CCI/ITC) dans le cadre du Programme d’appui INTRA-ACP de l’Union européenne à l’Acram pour la relance et la promotion du Café Robusta. Ce programme d’appui de l’UE est à destination des pays membre de l’Agence des cafés Robusta d'Afrique et de Madagascar (Acram) – le Cameroun, le Ghana, le Libéria, la République Démocratique du Congo et le Togo – est réalisé sur une durée de cinq années afin d’augmenter la production, la commercialisation et les revenus des producteurs de Robusta. Ce programme va permettre aux six pays membres de bénéficier d’un cadre permanent qui promeut la recherche pour le développement du café Robusta d’Afrique ; assurer un accès des exploitants à un matériel végétal amélioré ; soutenir des services de vulgarisation et des transfert de technologie, développer une stratégie de renouvellement des plantations ; renforcer l’autonomie des exploitants, développer et renforcer les organisations d’agriculteurs, augmenter la participation des femmes dans la production et en y attirant plus de jeunes ; promouvoir l’image du café Robusta d’Afrique en mettant en avant ses spécificités et en développant des produits et marques de qualité reconnue pour soutenir le développement de la filière et la consommation locale.
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