Pour une résilience performante
Faudrait produire qualité et/ou quantité ?
La modification génétique consiste en l’introduction, la suppression ou le remplacement d’un ou plusieurs gènes par des moyens artificiels (opération appelée transgénèse) dans le génome d’organismes comme des plantes, d’animaux, de micro-organismes. L’introduction des OGM dans la production est accepté à des degrés variés; selon que l’argument ne fasse prévaloir les avantages ou les inconvénients. en effet , comme avantages, les OGM permettent l'apparition de variétés avec des caractéristiques supérieures à celles de plantes dites normales. Il est possible d'augmenter la qualité nutritive, le rendement des récoltes, etc. Comme inconvénient, les OGM appauvrissent la biodiversité car souvent on ne cultive que l'espèce la plus résistante et la plus esthétique, modifiée génétiquement bien évidemment, Ils n'éliminent pas seulement les mauvaises herbes ou les parasites mais aussi des organismes vivants nécessaires à la culture. Etant donné que la nature s'adapte, il y a un risque de voir se répandre dans l'environnement un gène de résistance à un herbicide et donc des difficultés à se débarrasser des plantes adventices, sans compter que de nombreux insectes non ciblés par l'insecticide sont menacés par celui-ci. À l’évidence Si une hausse de la quantité totale de nourriture est plus que nécessaire, elle ne sera pas suffisante. Il faudra aussi produire mieux. Et pour cause, le système alimentaire actuel génère un impact environnemental important. La production agroalimentaire émet 10 gigatonnes d'équivalent dioxyde de carbone par an. Elle occupe le tiers de la surface terrestre et représente 70 % de l’ensemble des prélèvements d’eau douce.
#OGM
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