L’arachide
Production d’arachide en Gambie
Une faible rentabilité de l’arachide résultat d’une faible productivité
En Afrique de l'Ouest, l'emploi de semences d'arachide de haute qualité est un moyen efficace pour améliorer la productivité de la culture. Les semences obéissent à des critères de qualité génétique et physiologique. Si l'arachide est une plante presque strictement autogame, ce qui facilite la production de semences, elle a un faible coefficient de reproduction : au moins 10 % des superficies en arachide doivent être consacrés à la semence. Les quantités de semences à stocker sont importantes et d'un coût élevé. Des experts gambiens plaident d’ailleurs pour un changement de culture de rente dans le pays et proposent de se tourner vers le coton, le sésame ou la noix de cajou car la valeur de l’arachide sur le marché international a considérablement diminué. La faible rentabilité de l’arachide est le résultat d’une faible productivité dont le responsable n’est autre que le changement climatique. La raison première en est le facteur climatique, car les précipitations n’arriveraient pas à temps ». qu’environ 80% des 2 millions de Gambiens dépendent de l'agriculture pour leur nourriture et leurs revenus. L’agriculture représente 21 % du PIB du pays. Ce dernier compte 558 000 hectares de terres arables de très bonne qualité, dont seulement 200 000 hectares sont actuellement sous production agricole pluviale témoigne le ministère de l’Agriculture gambien. Par ailleurs, le pays a actuellement le potentiel de produire 250 000 tonnes d’arachides et 40 000 tonnes de sésame, mais ne bénéficient pas d’usine moderne pour mettre en valeur ces produits.
#Arachide
www.talkag.com
www.commodafrica.com
Une faible rentabilité de l’arachide résultat d’une faible productivité
En Afrique de l'Ouest, l'emploi de semences d'arachide de haute qualité est un moyen efficace pour améliorer la productivité de la culture. Les semences obéissent à des critères de qualité génétique et physiologique. Si l'arachide est une plante presque strictement autogame, ce qui facilite la production de semences, elle a un faible coefficient de reproduction : au moins 10 % des superficies en arachide doivent être consacrés à la semence. Les quantités de semences à stocker sont importantes et d'un coût élevé. Des experts gambiens plaident d’ailleurs pour un changement de culture de rente dans le pays et proposent de se tourner vers le coton, le sésame ou la noix de cajou car la valeur de l’arachide sur le marché international a considérablement diminué. La faible rentabilité de l’arachide est le résultat d’une faible productivité dont le responsable n’est autre que le changement climatique. La raison première en est le facteur climatique, car les précipitations n’arriveraient pas à temps ». qu’environ 80% des 2 millions de Gambiens dépendent de l'agriculture pour leur nourriture et leurs revenus. L’agriculture représente 21 % du PIB du pays. Ce dernier compte 558 000 hectares de terres arables de très bonne qualité, dont seulement 200 000 hectares sont actuellement sous production agricole pluviale témoigne le ministère de l’Agriculture gambien. Par ailleurs, le pays a actuellement le potentiel de produire 250 000 tonnes d’arachides et 40 000 tonnes de sésame, mais ne bénéficient pas d’usine moderne pour mettre en valeur ces produits.
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