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Bomboma Jean

Le point fort d’un drone qui remplacera un pulvérisateur : l’efficacité du pilotage automatique

Le DJI Agras MG-1 par exemple est capable de pulvériser 5 à 6 ha par heure. Différents types de buse sont disponibles selon le débit souhaité. Il faut travailler à très bas volume car son réservoir ne contient que 10 l de produit. Côté tarif, comptez 10 000 € et l’achat de quatre à six batteries pour une autonomie suffisante.



Le point fort de ce drone, mis en évidence lors de la démonstration : l’efficacité du pilotage automatique. En effet, il gère lui-même ses passages avec une grande régularité, aussi bien pour le quadrillage de la zone que l’altitude de pulvérisation. Grâce à ses capteurs, le drone reste toujours à la hauteur souhaitée par rapport à la plante. Preuve de son efficacité : les papiers buvards disposés dans les rangs, mouillés après son passage, montrant que le produit a bien atteint sa cible. Lorsque ses batteries ou son réservoir sont vides, il revient automatiquement à son point de départ. Un inconvénient cependant : au printemps, en période de nidification, les drones semblent perturber certains oiseaux.

#Grandes_Cultures #Pulvérisation #Techniques



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