LA POUVOIR DES VERS DE TERRE DANS LA FERTILISATION DES SOLS
Les vers de terre sont des organismes vivants qui jouent un rôle prépondérant dans la fertilisation des sols. Pour tirer le profit maximum de ces derniers, il revient à l’agriculteur de pratiquer des techniques sans labour sur sa parcelle. En effet, lorsqu’on supprime le travail du sol, et l’apport des phyto, nous pouvons remarquer le rôle extraordinaire joué par les vers de terre dans la fertilisation des sols.
Vers de terre, travailleurs infatigables du sol
Lorsque le labour est laissé au profit du travail superficiel du sol sans retournement, cela donne des résultats spectaculaires. En effet, cela se concrétise par une amélioration de la portance des sols et de la capacité d’infiltration des pluies, d’une remontée du taux d’humus, d’une meilleure résistance à la sécheresse et hausse des rendements de 23 q par ha à 45 q en moyenne. Cette prouesse fait des vers de terre l’un des alliés naturels et principaux contributeurs à la fertilisation des sols. Tout ceci est confirmé par une étude canadienne qui stipule que “ les turricules remontées à la surface par les vers de terre représentent un poids de 40 à 120 tonnes par an et ont une valeur fertilisante considérable ”. D’autres essais ont montré que “ les vers de terre sont capables de dégrader l’équivalent de 6 tonnes de paille par ha en seulement trois mois ”.
Plus besoin de retourner la terre
Pour que les vers de terre jouent pleinement leur rôle, il ne faut arrêter de retourner la terre et laisser toutes les matières organiques en surface ou à très faible profondeur, moins de 5 cm. Cela va permettre aux vers de terre de constituer les mélanges de résidus végétaux dont ils vont se nourrir. En effet, les lombrics anéciques, qui représentent souvent la moitié de la biomasse des vers de terre dans le sol, sont incapables de recycler de la matière organique si celle-ci est enfouie profondément par un labour car ils ne peuvent plus construire leurs galeries. Dans ce rôle, plus besoin de faire des apports en engrais organiques dans le sol. La fertilisation repose donc uniquement sur les fournitures par le sol, qui sont d’autant plus élevées que l’on ne perturbe plus le travail des lombrics. Ainsi, la capacité d’enracinement et d’exploration du sol par les plantes est notablement améliorée par les multiples réseaux de galeries creusées par les vers de terre.
#Fertilisation_des_sols
Vers de terre, travailleurs infatigables du sol
Lorsque le labour est laissé au profit du travail superficiel du sol sans retournement, cela donne des résultats spectaculaires. En effet, cela se concrétise par une amélioration de la portance des sols et de la capacité d’infiltration des pluies, d’une remontée du taux d’humus, d’une meilleure résistance à la sécheresse et hausse des rendements de 23 q par ha à 45 q en moyenne. Cette prouesse fait des vers de terre l’un des alliés naturels et principaux contributeurs à la fertilisation des sols. Tout ceci est confirmé par une étude canadienne qui stipule que “ les turricules remontées à la surface par les vers de terre représentent un poids de 40 à 120 tonnes par an et ont une valeur fertilisante considérable ”. D’autres essais ont montré que “ les vers de terre sont capables de dégrader l’équivalent de 6 tonnes de paille par ha en seulement trois mois ”.
Plus besoin de retourner la terre
Pour que les vers de terre jouent pleinement leur rôle, il ne faut arrêter de retourner la terre et laisser toutes les matières organiques en surface ou à très faible profondeur, moins de 5 cm. Cela va permettre aux vers de terre de constituer les mélanges de résidus végétaux dont ils vont se nourrir. En effet, les lombrics anéciques, qui représentent souvent la moitié de la biomasse des vers de terre dans le sol, sont incapables de recycler de la matière organique si celle-ci est enfouie profondément par un labour car ils ne peuvent plus construire leurs galeries. Dans ce rôle, plus besoin de faire des apports en engrais organiques dans le sol. La fertilisation repose donc uniquement sur les fournitures par le sol, qui sont d’autant plus élevées que l’on ne perturbe plus le travail des lombrics. Ainsi, la capacité d’enracinement et d’exploration du sol par les plantes est notablement améliorée par les multiples réseaux de galeries creusées par les vers de terre.
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