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Akomedi Moudjibou

Comment l’Inde et le Pakistan pourraient partager l’exclusivité mondiale sur le riz basmati (Cirad)

Dans le monde, les indications géographiques comptent parmi les moyens les plus efficaces de valorisation du terroir de nombreux pays. Si cet outil offre de nombreuses opportunités économiques avec la renommée des produits étiquetés, il peut aussi générer de nombreuses disputes. C’est le cas notamment de la demande d’indication géographique protégée (IGP) sur le riz basmati qui est au centre depuis quelques mois d’un bras de fer entre l’Inde et le Pakistan. Alors que les deux pays voisins se partagent la zone historique de production de la céréale, le chemin de l’entente semble encore long dans un contexte de rivalités régionales. Dans une interview à l’Agence Ecofin, Delphine Marie-Vivien, chercheure au Cirad revient sur les enjeux économiques et politiques liés à cette IGP.



Agence Ecofin : Comment en est-on arrivé à ce différend entre l’Inde et le Pakistan à propos de l’IGP sur le riz basmati ?



Delphine Marie-Vivien : Je dois rappeler ici qu’une indication géographique protège un nom qui désigne un produit dont la qualité, les caractéristiques ou la réputation est liée à son origine géographique. Nous avons beaucoup d’exemples dans le monde comme le roquefort, le champagne, le thé Darjeeling en Inde, le poivre de Penja au Cameroun.

Le reste de la publication à travers le lien ci-dessous 👇👇👇:

www.agenceecofin.com



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