Le choix du couple « variété-date de semis » est déterminant. Cela résulte d’un compromis entre les leviers gel et stress hydrique. Quant à la densité de semis de blé, elle joue assez peu par rapport au risque climatique ; car, anticiper ou retarder d’un mois de la date de semis recommandée, elle joue en moyenne sur 10% du rendement, alors que l’impact de la densité de semis sur le rendement est généralement inférieur à 5%. En revanche, on pourra augmenter la densité de semis pour compenser les pertes liées à la levée, au manque de tallage ou au désherbage mécanique.



Source image : Agro.basf



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