Appel à l'arrêt du financement de l'agriculture industrielle
Les organisations de la société civile ont appelé les donateurs influents à cesser de financer les programmes d' agriculture industrielle , qui, selon elles, nuisent aux petits agriculteurs et à l' environnement .
L'Alliance pour la souveraineté alimentaire en Afrique (AFSA) - qui représente 200 millions de petits producteurs alimentaires - ainsi que 165 organisations de 40 pays, ont envoyé mardi une lettre aux donateurs de l'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) et d'autres ' organisations de la Révolution verte, les exhortant à rediriger leur soutien vers l'agroécologie dirigée par l'Afrique et les systèmes agricoles à faibles intrants.
La révolution verte des années 1950 à 1970 a intensifié l'agriculture en augmentant l'utilisation d'intrants - engrais, pesticides et irrigation - pour les cultures modernes à haut rendement.
"Les agriculteurs de toute l'Afrique ont montré des résultats beaucoup plus prometteurs en partageant leurs connaissances et en travaillant avec des scientifiques pour établir des méthodes agricoles à faibles intrants qui laissent le contrôle de la production entre les mains des agriculteurs africains", indique la lettre.
SOURCE : www.scidev.net
#Agroécologie
L'Alliance pour la souveraineté alimentaire en Afrique (AFSA) - qui représente 200 millions de petits producteurs alimentaires - ainsi que 165 organisations de 40 pays, ont envoyé mardi une lettre aux donateurs de l'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) et d'autres ' organisations de la Révolution verte, les exhortant à rediriger leur soutien vers l'agroécologie dirigée par l'Afrique et les systèmes agricoles à faibles intrants.
La révolution verte des années 1950 à 1970 a intensifié l'agriculture en augmentant l'utilisation d'intrants - engrais, pesticides et irrigation - pour les cultures modernes à haut rendement.
"Les agriculteurs de toute l'Afrique ont montré des résultats beaucoup plus prometteurs en partageant leurs connaissances et en travaillant avec des scientifiques pour établir des méthodes agricoles à faibles intrants qui laissent le contrôle de la production entre les mains des agriculteurs africains", indique la lettre.
SOURCE : www.scidev.net
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