Lorsque les chenilles sont en faible nombre, on peut procéder à une lutte mécanique par simple prélèvement, les chenilles n'étant pas urticantes. Elles doivent être détruites ou écrasées. Cette lutte mécanique est fastidieuse et ne garantit pas une élimination physique totale. La lutte microbiologique est aujourd'hui un moyen de lutte efficace en utilisant Bacillus thuringiensis. La lutte chimique est également possible en pulvérisant un insecticide chimique homologué à base de pyréthrinoïdes; un traitement qui demande une certaine attention. Le piégeage des papillons avec une bassine d'eau mélangée à du liquide vaisselle et éclairée pendant la nuit testée, semble produire des résultats encourageants.