Il est incontestable que la production de volaille peut dépend du prix des céréales.
Un constat pertinent est fait par les dirigeants de la toute nouvelle inter-profession de la volaille de chair (Anvol). En effet, les prix de reprise ne couvrent plus les coûts alimentaires de la production de volaille, et celle-ci a besoin d’une hausse de 4 à 5 %. Le président de l’ANVOL s’est basé sur l’indice Itavi du prix de l’aliment et l’indice des prix sortie abattoir. un rééquilibrage s’impose une fois que le rapport entre ces indices varie de ± 10 % –.