Craindre ou s’inspirer du modèle néozélandais ?
Du plomb dans l’aile ?
Cependant, tout n’est pas « rose » au pays du mouton. Jusqu’en 1984, l’élevage ovin néozélandais bénéficiait de subventions plus que favorables. Depuis leur arrêt, la production bovine laitière, plus rentable, prend le dessus. En plus de trente ans, le cheptel ovin a ainsi diminué de 65 %. Les éleveurs néozélandais sont parvenus à augmenter la productivité numérique et le poids carcasse des agneaux. « Ils ont renforcé leur technicité et surtout ils ont su coordonner l’ensemble des acteurs de la filière autour d’une stratégie commune. » Malgré tout, le nombre d’éleveurs ne cesse de diminuer et, comme en France, « le renouvellement générationnel est loin d’être enclenché ». De plus, la production semble selon Marie Carlier, « menacée face aux défis environnementaux et aux changements climatiques de demain ».
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