L’Ouest mise sur la qualité



Une réflexion à mener sur une génétique différente



Il faut « soutenir les travaux de l’Ifip (Institut du porc) pour faire progresser le niveau qualitatif de la viande de porc, et faire en sorte qu’il y ait des segments de gamme ». Autrement dit, augmenter le niveau de gras dans la viande de porc en manipulant finement différents leviers : une alimentation enrichie, un âge d’abattage plus tardif et une génétique différente, par exemple de type Duroc en voie mâle pour produire plus de gras. Ce qui pourrait poser problème aux opérateurs qui, comme Cooperl Arc Atlantique, ne castrent plus leurs animaux (plus de muscle, moins de gras) et les abattent jeunes pour ne pas développer d’odeurs sexuelles.



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