Les tentatives de lutte biologique, ne semblent pas avoir été d'une grande efficacité contre Lissachatina fulica et sont la cause de la diminution et parfois de la disparition d'espèces locales. L'une des méthodes de lutte biologique la plus utilisée contre l'escargot géant africain est l'introduction d'escargots prédateurs, surtout d’Euglandina rosea. Ce technique s’est montrée relativement inefficace et a parfois eu des conséquences dramatiques sur des populations d’autres escargots autochtones.