C’est d’abord par leur nombre que les pucerons verts sont dangereux. Lors du cycle de reproduction, les colonies ont besoin de se nourrir. Les pucerons piquent et sucent les végétaux, qui se recroquevillent et s’atrophient. Les dégâts se déclinent sur la quantité et la qualité des récoltes. Certains végétaux meurent, d’autres sont beaucoup moins riches. Avec moins de sucre pour la betterave par exemple. Le deuxième effet majeur néfaste du puceron vient de sa tendance à transmettre les virus. Lorsqu’il pique une plante, il peut lui transmettre une maladie qui peut s’avérer rédhibitoire pour une parcelle et entraîner une perte totale de récolte.