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Bomboma Jean

La commercialisation porcine

Douze éleveurs se sont engagés dans la démarche



Le distributeur E. Leclerc lance le niveau 2 de sa filière porcine exclusive



L'industriel, lui, a déjà défini la manière de valoriser cette viande. Elle sera transformée en salaisons et vendue à partir de février dans sa gamme de charcuterie « Nos recettes privilège » au rayon frais emballé. Une gamme de treize références aux allégations « Saveur » qui, avec l'estampille « Juste et bon », évoque désormais des valeurs de développement durable au travers des mentions suivantes : rémunération de l'éleveur basée sur le coût de production, démarche d'amélioration des conditions d'élevage, et porcs nourris sans OGM et élevés sans traitements antibiotiques après le 1er âge (42 jours). Sur un marché global de la charcuterie en recul de 2,9 % en 2018, seules les gammes aux allégations certifiées progressent, selon Kermené. En année 1, l'entreprise vise la commercialisation de 4,5 millions d'unités de vente pour 13 millions d'euros de chiffre d'affaires. L'abatteur n'écarte pas l'idée, dans un second temps, de valoriser la viande issue des animaux du Collectif niveau 2 en rayon boucherie.

#Elevage

#Commercialisation



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