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Emart Gilbert

La mouche de l’olive (Bactrocera oleae)

Moyens de lutte contre le ravageur

Luttes non chimique



La lutte non-chimique se fait par des pièges de fabrication "maison" (pièges Olipe) constitués par des bouteilles d'eau minérale récupérées percées de petits trous de 4 mm sur le flanc supérieur de la bouteill. Remplir la bouteille à demi d'une solution de phosphate de diammonium à 40 g/L bien clarifiée ou de phosphate diammonique à 40 g/l. On peut ajouter par bouteille une grosse cuillerée de mélasse ou de miel et une cuillerée de vinaigre. Ajouter une solution de colorant alimentaire jaune. Suspendre la bouteille dans l'arbre, vers le sud-ouest, à l’ombre d’une branche. Attention, en cas de fortes chaleurs, les mouches arrivent du côté nord de l'arbre. Pensez à changer les pièges de place ou à en rajouter, notamment fin août, en prévision des attaques massives de septembre. On peut aussi utiliser des déchets de poisson putréfiés, une solution d'hydrolysat de protéines ou une solution de levure de bière.

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Mouche_de_l'olive #3-_Lutte_non-chimique

#Bactrocera_oleae #Ravageurs #Conseil_agronomiques


           La mouche de l’olive (Bactrocera oleae)