Yara mobilise $1,1 milliard pour réduire son intensité carbon.
Réduire de 10% les gaz à effet de serre par tonne d’engrais produite.
La sécurité alimentaire est définie par une alimentation suffisante en quantité, sûre et suffisamment nutritive permettant une vie saine et active (FAO, 2009). La fertilisation s’inscrit dans les deux enjeux de quantité et de qualité de l’alimentation. On oublie que les engrais minéraux azotés contribuent à satisfaire la moitié des besoins alimentaires (48%) de la population mondiale (Erisman et al. 200

. Du fait de la rapide croissance démographique (9 milliards en 2050), il est nécessaire d’améliorer la production alimentaire grâce à l’utilisation raisonnée des engrais et amendements dont l’efficacité devra être maximale pour limiter leurs impacts sur l’eau, l’air et les espaces naturels. C’est dans cette visée que la société norvégienne spécialisée dans les engrais Yara International a signé hier une facilité de crédit renouvelable sur cinq ans d’un montant de $1,1 milliard auprès de 13 banques. Une réponse à la pression croissante de certains investisseurs face à l’impact environnementale de leurs activités. L’objectif de Yara en terme d’intensité carbone de ses activités est de réduire de 10% les gaz à effet de serre par tonne d’engrais produite d’ici 2025. Ce qui devrait, selon le groupe, permettre d'économiser plus de 2,2 millions de CO2 par an d'ici 2025 (à volumes constants 201

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