Très invasif, le vulpin peut causer une perte de rendement de 20 à 30% sur une parcelle infestée car il rivalise avec les cultures semées pour se développer en appauvrissant la zone et en empêchant la céréale d’accéder à la lumière du soleil, aux éléments nutritifs du sol, à l’eau et à l’espace nécessaires à son développement. Mais en général, le Vulpin des champs n'est pas classée dans le lot des adventices qui dégradent la qualité des récoltes. Elle est cependant l'hôte de divers champignons pathogènes comme le Claviceps purpurea, ce qui en fait un facteur déterminant dans la survenue de l'épidémie de l'ergot.