Aujourd’hui l’imparable serait de promouvoir et de soutenir des pratiques agricoles durables en mesure de permettre aux populations rurales de s’adapter aux effets du changement climatique et à la rareté croissante de nombreuses ressources naturelles, notamment l’eau et les forêts.



Au vu de nombreux constats au nombre desquels l’on peut noter que le Lac Tchad a perdu environ 90% des ses ressources en eau au fil des années rendant l’agriculture peut attrayante dans le bassin;il était donc impérieux que les pays partageant cette manne puissent envisager des solutions. C’est ainsi donc qu’une coopération transfrontalière est engagée entre le Niger, le Nigeria et le Tchad autour d’un projet commun pour réhabiliter le système agricole, restaurer les terres dégradées et les moyens de subsistance des populations du bassin du Lac Tchad. le directeur général de l’Agence nationale pour la grande muraille verte (NAGGW), Bukar Hassan, Le bassin du lac Tchad a été l’une des régions les plus dégradées au monde, avec une crise humanitaire. C’est pourquoi notre président tient à ce que le bassin soit réhabilité, car l’insurrection qui affecte les trois pays participants est entièrement liée à la dégradation de l’environnement. Rappelons que la COP14 a adopté une décision visant à renforcer les efforts mondiaux visant à mieux atténuer et gérer les risques de sécheresse et à renforcer la résilience.

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SOURCE: www.commodafrica.com