réduire l’utilisation des produits phytopharmaceutiques pour une agriculture plus saine. L’Etat veut ainsi baisser de 25% l’ensemble des pesticides dans les exploitations, et surtout bannir le glyphosate.



en visite dans l’île pour deux jours, Mercredi 19 février, Le préfet Pierre-Etienne Bisch, coordinateur national des plans gouvernementaux de réduction des produits phytopharmaceutiques a rencontré les acteurs du monde agricole pour faire un point d’étape sur la volonté de sortir du glyphosate d’ici la fin de l’année et de réduire l’utilisation de produits phytopharmaceutiques. Face aux acteurs du monde agricole, il a tenu à rassurer sur les modalités de cette volonté de sortir du glyphosate. Les agriculteurs n’y sont pas défavorables, mais la tâche ne devrait pas être simple. Sortir du glyphosate mais à quelles conditions et pour quelles alternatives ? C’est la question principale que se posent aujourd’hui les acteurs du monde agricole. Lors de sa rencontre avec eux, le préfet a tenu à les rassurer sur la volonté de prendre en compte les spécificités des territoires ultramarins. Il estime que dans tous les cas, il faut faire prendre conscience à la population que le juste emploi du produit, la bonne connaissance du produit et également les précautions nécessaires sont des choses indispensables.



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