L’agroforesterie pourrait être un élément essentiel de la réponse apportée à la situation critique des forêts ivoiriennes. Elle permettrait également d’assurer le futur de la cacaoculture, un secteur clef de l’économie du pays. C’est dans cette perspective que la Banque mondiale assiste le gouvernement ivoirien.
La Banque mondiale et le gouvernement ivoirien ont signé, ce vendredi, un accord de crédit de 200 millions de dollars de l’Association internationale de développement (IDA), à la Côte d’Ivoire, pour soutenir les réformes visant, d’une part, à favoriser les investissements dans le cacao, l’agroforesterie, les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique dans le respect strict de l’environnement, et d’autre part, accélérer la mobilisation de ressources domestiques et renforcer l’efficacité des programmes sociaux en faveur des populations les plus pauvres. L'opération va permettre d’encourager l'adoption de l'agroforesterie et l'établissement de normes pour une production de cacao durable ; faciliter l'intégration de l'énergie solaire sur le réseau électrique, encourager de nouveaux investissements dans les énergies vertes, et promouvoir l'efficacité énergétique ; numériser le système de paiement des impôts pour une meilleure mobilisation des recettes intérieures ; et améliorer le ciblage des programmes de filets sociaux en enregistrant les familles pauvres dans le registre social.
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SOURCE:
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