POMMES DE TERRE : LE TRAVAIL DU SOL, ÉLÉMENT IMPORTANT DANS LA GESTION DES SOLS
Un apport régulier d’oxygène est primordial pour le bon développement des racines et des tubercules. Pour ce faire, il faut rendre le sol friable et le maintenir dans cet état pendant toute la saison de végétation. Le travail préliminaire du sol, la préparation du lit de semence et le travail du sol entre les rangs sont d'importantes mesures de gestion du sol pour la production de pommes de terre.
Comment réaliser le travail du sol ?
Vu que le compactage et la dégradation de la structure du sol sont des facteurs négatifs, il importe d'effectuer des travaux seulement quand le taux d'humidité du sol est excellent. Lorsque le sol est humide, il faut éviter de faire passer des machines agricoles dans le champ. Car l’on serait exposé aux risques d’érosion dus au compactage et l’accumulation d’eau. Certains facteurs méritent des examens plus approfondis à savoir : le choix du matériel convenable, la période d'exécution et la fréquence, la profondeur et l'orientation du travail du sol.
Le travail du sol doit être fait en travers de la pente principale lorsqu'il y a un grand risque d'érosion. En présence de ce risque, il faut éviter tout travail préliminaire à l'automne et laisser la surface du sol à l'état grossier et recouverte de la plus grande quantité possible de résidus végétaux. Le passage du chisel s'est avéré utile à cet égard.
Quelques conseils
Il vaut mieux laisser une surface accidentée après le travail du sol à l'automne, afin d’obtenir un réchauffement rapide du sol au printemps. La préparation du lit de semence et le travail du sol doivent être réduits au minimum, car les façons culturales excessives sont néfastes pour la structure du sol et la matière organique. Réduire au minimum la profondeur du travail du sol au printemps pour accélérer le réchauffement du sol et prévenir un assèchement excessif. L'utilisation de la charrue à versoirs doit être évitée au printemps, car le retournement du sol à cette période ne favorise pas son réchauffement.
Il faut également supprimer autant que possible le travail du sol lorsque le champ doit rester nu et sans protection contre l'érosion. L'installation d'une plante de couverture pour l'hiver est très souhaitable, par exemple le seigle d'hiver. Les systèmes (4) répandus pour le travail du sol exposent leur efficacité dans diverses conditions et compte tenu d'autres facteurs connexes comme la gestion des résidus, la conservation du sol et le coût relatif des travaux.
#Pommes_de_terre #Travail_du_sol sol
Comment réaliser le travail du sol ?
Vu que le compactage et la dégradation de la structure du sol sont des facteurs négatifs, il importe d'effectuer des travaux seulement quand le taux d'humidité du sol est excellent. Lorsque le sol est humide, il faut éviter de faire passer des machines agricoles dans le champ. Car l’on serait exposé aux risques d’érosion dus au compactage et l’accumulation d’eau. Certains facteurs méritent des examens plus approfondis à savoir : le choix du matériel convenable, la période d'exécution et la fréquence, la profondeur et l'orientation du travail du sol.
Le travail du sol doit être fait en travers de la pente principale lorsqu'il y a un grand risque d'érosion. En présence de ce risque, il faut éviter tout travail préliminaire à l'automne et laisser la surface du sol à l'état grossier et recouverte de la plus grande quantité possible de résidus végétaux. Le passage du chisel s'est avéré utile à cet égard.
Quelques conseils
Il vaut mieux laisser une surface accidentée après le travail du sol à l'automne, afin d’obtenir un réchauffement rapide du sol au printemps. La préparation du lit de semence et le travail du sol doivent être réduits au minimum, car les façons culturales excessives sont néfastes pour la structure du sol et la matière organique. Réduire au minimum la profondeur du travail du sol au printemps pour accélérer le réchauffement du sol et prévenir un assèchement excessif. L'utilisation de la charrue à versoirs doit être évitée au printemps, car le retournement du sol à cette période ne favorise pas son réchauffement.
Il faut également supprimer autant que possible le travail du sol lorsque le champ doit rester nu et sans protection contre l'érosion. L'installation d'une plante de couverture pour l'hiver est très souhaitable, par exemple le seigle d'hiver. Les systèmes (4) répandus pour le travail du sol exposent leur efficacité dans diverses conditions et compte tenu d'autres facteurs connexes comme la gestion des résidus, la conservation du sol et le coût relatif des travaux.
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