Un choix fait par Jean-Yves Louedec, agriculteur bio à Locarn
Selon lui, en fauchant trois semaines plus tôt avant la date théorique de la moisson, il récolte un blé de bonne qualité à maturité tout en réduisant les risques de mycotoxines; les adventices sont limitées. La verdure poussant dans la céréale sèche et donc le passage de la moissonneuse est plus aisé. Satisfait, il compte recommencer cette pratique dans le colza et le blé noir.