Cette stratégie de “tir à vue” est souvent plus économique, à condition de bien connaître la flore attendue. Bien adaptée aux faibles pressions des mauvaises herbes, elle reste délicate. Parfois, le stade de l’adventice prime sur les meilleures conditions climatiques. Il devient très difficile d’aboutir à un bon contrôle des adventices trop développées telles que renouée liseron ou chénopode.