Les variétés de type hiver valorisent un ou deux apports d’eau à partir de fin floraison, en cas de temps sec. Du fait de leur précocité, elles nécessitent moins d’apport d’eau que la féverole de printemps. La féverole de printemps est sensible au déficit hydrique. L’irrigation de la féverole de printemps commence en même temps ou à peine plus tard que celle du pois de printemps. En revanche, elle s’étale sur 10 à 15 jours de plus et comporte en moyenne un tour d’eau supplémentaire.