Un semis tardif est préférable lors de printemps frais et humides pour diminuer les probabilités de dommages par la mouche des semis. Une densité de semis plus élevée permettrait aussi de compenser les pertes pouvant être causées par ce ravageur. De plus, il est recommandé d’effectuer un travail de sol avant le semis ou à l’automne afin de remonter les pupes à la surface du sol, les rendant plus vulnérables aux températures froides et aux ennemis naturels. Un semis peu profond permet aussi d’accélérer la germination et réduit les risques de dommages. La mouche des semis peut s’avérer un ravageur important de certaines cultures maraîchères et fruitières.