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Traore Phénix Mensah

Après le Vietnam, l’Inde et le Brésil, sur le marché de l’amande de cajou, la Côte d’Ivoire monte en puissance.

Selon N’Kalô, la croissance de la transformation de noix de cajou en Côte d’Ivoire ne dépend donc plus uniquement d’un nombre limité de transformateurs, ni des investissements étrangers ! Quoi qu’il en soit, les autorités du pays mettent tout en oeuvre pour une ascension rapide de la transformation, parce que, le marché reste dynamique.





Une montée en puissance du quatrième transformateur mondial, après le Vietnam, l’Inde et le Brésil, sur un marché de l’amande de cajou toujours dynamique. Les exportations d’amande ont progressé de 11% sur le 1er semestre 2019 pour atteindre 240 114 tonnes, dont plus de 80% provient du Vietnam. Et c’est un groupe vietnamien, T&T, qui a conclu début août un accord avec la Cereals and Other Produce Board of Tanzania (CPB) pour acheter 176 000 tonnes de noix de cajou de Tanzanie, libérant enfin une grande partie du stock de sa récolte 2018/19. C’est ce même groupe vietnamien qui avait également signé ces derniers mois des accords avec la Côte d’ivoire et la Guinée Bissau. Grâce à ces accords, T&T détient une position importante dans l’approvisionnement en noix de cajou brutes du Vietnam. Ce dernier est le premier importateur mondial de noix de cajou brute avec près de 1,2 million de tonnes en 2018, soit 58% des importations mondiales et premier exportateur mondial d’amande avec 374 000 tonnes, soit plus de 80% des exportations mondiales.

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SOURCE: www.commodafrica.com


          Après le Vietnam, l’Inde et le Brésil, sur le marché de l’amande de cajou, la Côte d’Ivoire monte en puissance.