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Bonnet Aurélien

Fertilisation azotée et soufrée : quelles différences avec le blé d’hiver ?

Comme pour les blés d’hiver, la dose totale d’azote est calculée en fonction de l’objectif de rendement et des fournitures du sol. Le reliquat de sortie d’hiver peut être pris en compte, en adaptant la date de prélèvement au cycle et aux besoins décalés. De la même façon, les postes minéralisation et précédent sont identiques à ceux pris en compte pour un semis d’hiver.



Les différences avec une céréale d’hiver correspondent à un objectif de rendement moindre et des besoins plus précoces. Le fractionnement en trois apports est conseillé tant pour le rendement que pour la qualité. Le premier apport d’azote est à positionner entre le semis et 2 feuilles, le dernier apport adapté à la variété entre 2 nœuds et le stade dernière feuille étalée, et le complément au stade épi 1 cm. Comme les cultures d’hiver, les blés de printemps peuvent malgré tout être pilotés grâce aux outils d’aide à la décision. Concernant le soufre, la gestion de cet élément est identique à celle des céréales d’hiver. Mais le cycle se déroulant plus tardivement, avec des températures plus élevées, les besoins sont mieux couverts par la minéralisation du sol.



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SOURCE: www.terre-net.fr



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